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Site Lesbien

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Ellie Carpenter (photo dr.) et Daniëlle van de Donk, figures majeures de l’Olympique Lyonnais, se sont mariées le week-end dernier dans le sud de la France. ...
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tantra-rose_0.jpgTASSE de THÉ a sélectionné pour vous !
"Mireille Le Floch et moi-même proposons des stages tantriques pour femmes lesbiennes nées femmes.

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Isabella Merced, star de série américaine a révélé qu'elle est lesbienne...
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RUGBY FÉMININ : SEXISME et HOMOPHOBIE !
RugbyFeminin_2.jpg ❤️SPORTIVES !
Les joueuses du Stade français demandent la "démission immédiate" de leur ancien directeur sportif, accusé de propos sexistes et homophobes..
ASSEZ DE PESTICIDES TUEURS D'ABEILLES !!!
pesticide-abeilles_1.jpgTasse de Thé lutte AUSSI pour la cause Animale !
"Tous les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) doivent accueillir les animaux de compagnie...

LezPresse

usa-cour-suprem-trans_1.jpgTRANS-FORMATION...

Washington –La Cour suprême des États-Unis a rendu mercredi une décision qui affectera la capacité des jeunes transgenres à recevoir des soins d'affirmation de genre dans l'état du Tennessee et dans plus de vingt autres États dotés de lois similaires.

Dans l'affaire US v Skrmetti, les plaignants étaient trois familles avec des enfants transgenres et un médecin qui avait soutenu que l'interdiction par l'état du Tennessee, des bloqueurs de puberté et de l'hormonothérapie pour le traitement de la dysphorie de genre chez les mineurs était en violation de la clause de protection égale du 14e amendement de la Constitution américaine...
Cette décision est potentiellement lourde de conséquences, la moitié des Etats américains ayant prohibé les traitements pour les mineurs qui ne se reconnaissent pas dans leur genre de naissance.
Sur 1,6 million de personnes se définissant comme transgenres aux Etats-Unis, plus de 300.000 sont âgées de 13 à 17 ans, dont plus du tiers vivent dans un de ces Etats, selon une étude du Williams Institute, groupe de réflexion de l'université UCLA.
Par six voix contre trois, les juges conservateurs contre les progressistes, la Cour suprême proclame que la loi adoptée en 2023 par le Tennessee (sud), interdisant aux mineurs transgenres l'accès aux bloqueurs de puberté et aux traitements hormonaux de transition, ne présente pas de caractère discriminatoire.
(...)"Ce dossier porte le poids de vifs débats scientifiques et de politique publique quant à la sûreté, l'efficacité et l'adéquation des traitements médicaux dans un domaine en pleine évolution",

souligne aussi la majorité. A contrario, la juge Sonia Sotomayor, dans un avis écrit de désaccord auquel s'associent les deux autres progressistes, reproche à la décision de "tordre la logique et la jurisprudence" pour conclure que la loi du Tennessee n'est pas discriminatoire alors qu'elle "catégorise expressément sur la base du sexe et du statut transgenre".

"La Cour abandonne ainsi les enfants transgenres et leurs familles à des caprices politiques", déplore-t-elle.
(...) Cette loi vise à protéger les mineurs d'interventions médicales "risquées et susceptibles d'avoir des conséquences souvent irréversibles", avait plaidé en décembre le représentant du Tennessee.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump est revenu sur une série d'acquis obtenus par les personnes transgenres, un de ses chevaux de bataille contre le "wokisme", la bien-pensance dont il taxe le camp démocrate.
Le président républicain a signé un décret mettant fin aux aides publiques pour les traitements de transition des mineurs, chimiques comme chirurgicaux, promettant de s'y opposer par tous les moyens légaux..."
Source ►france24.com -18/06/2025
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6

  
usa-cour-suprem-trans_1.jpgTRANS-FORMATION...

Washington –La Cour suprême des États-Unis a rendu mercredi une décision qui affectera la capacité des jeunes transgenres à recevoir des soins d'affirmation de genre dans l'état du Tennessee et dans plus de vingt autres États dotés de lois similaires.

Dans l'affaire US v Skrmetti, les plaignants étaient trois familles avec des enfants transgenres et un médecin qui avait soutenu que l'interdiction par l'état du Tennessee, des bloqueurs de puberté et de l'hormonothérapie pour le traitement de la dysphorie de genre chez les mineurs était en violation de la clause de protection égale du 14e amendement de la Constitution américaine...
Cette décision est potentiellement lourde de conséquences, la moitié des Etats américains ayant prohibé les traitements pour les mineurs qui ne se reconnaissent pas dans leur genre de naissance.
Sur 1,6 million de personnes se définissant comme transgenres aux Etats-Unis, plus de 300.000 sont âgées de 13 à 17 ans, dont plus du tiers vivent dans un de ces Etats, selon une étude du Williams Institute, groupe de réflexion de l'université UCLA.
Par six voix contre trois, les juges conservateurs contre les progressistes, la Cour suprême proclame que la loi adoptée en 2023 par le Tennessee (sud), interdisant aux mineurs transgenres l'accès aux bloqueurs de puberté et aux traitements hormonaux de transition, ne présente pas de caractère discriminatoire.
(...)"Ce dossier porte le poids de vifs débats scientifiques et de politique publique quant à la sûreté, l'efficacité et l'adéquation des traitements médicaux dans un domaine en pleine évolution",

souligne aussi la majorité. A contrario, la juge Sonia Sotomayor, dans un avis écrit de désaccord auquel s'associent les deux autres progressistes, reproche à la décision de "tordre la logique et la jurisprudence" pour conclure que la loi du Tennessee n'est pas discriminatoire alors qu'elle "catégorise expressément sur la base du sexe et du statut transgenre".

"La Cour abandonne ainsi les enfants transgenres et leurs familles à des caprices politiques", déplore-t-elle.
(...) Cette loi vise à protéger les mineurs d'interventions médicales "risquées et susceptibles d'avoir des conséquences souvent irréversibles", avait plaidé en décembre le représentant du Tennessee.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump est revenu sur une série d'acquis obtenus par les personnes transgenres, un de ses chevaux de bataille contre le "wokisme", la bien-pensance dont il taxe le camp démocrate.
Le président républicain a signé un décret mettant fin aux aides publiques pour les traitements de transition des mineurs, chimiques comme chirurgicaux, promettant de s'y opposer par tous les moyens légaux..."
Source ►france24.com -18/06/2025
Poids: 
6

  
AnnWilloughby-BarbGoldstein_1.jpgNOS HEROÏNES

Ann Willoughby et Barb Goldstein sont devenues l'emblème du droit au mariage en 2012.

En 2012, alors que les affaires de mariage entre personnes de même sexe envahissaient les tribunaux d'État et fédéraux à l'approche de la décision, les deux Caroliniennes du Nord ont fait leur part pour faire de l'égalité du mariage la loi du pays...
Ces compagnes de longue date s'étaient récemment impliqués dans la Campagne pour l'égalité dans le Sud et, avec deux autres couples, avaient tenté d'obtenir une licence de mariage à la mairie de Durham, « sachant que leur demande serait refusée ». Cette action a fait la une du Raleigh News & Observer , avec une grande photo du couple en première page.
- «C'était assez effrayant à l'époque, car nous n'avions pas encore fait notre coming out publiquement », raconte Goldstein à LGBTQ Nation . « Bien sûr, tous nos amies étaient au courant. »
Le couple s'est rencontré en 1981 à Saginaw, dans le Michigan, où Willoughby était coordinateur bénévole d'un hospice local et Goldstein animait des ateliers de communication pour médecins et infirmières. Ann était récemment divorcée et avait cinq enfants, dont trois étaient encore adolescents à la maison.
- «J'ai toujours été lesbienne, Ann a toujours été hétéro », raconte Barb. Il a fallu quelques mois avant que leur relation ne dépasse le stade platonique.
Quelques années plus tard, elles ont déménagé en Caroline du Nord pour suivre toutes deux un master à l'École de travail social de l'UNC. Elles ont consacré le reste de leur carrière à divers domaines de la psychothérapie.
Leur plaidoyer en faveur de l’égalité du mariage a fait d’eux un « couple modèle » pour la cause, prouvant que même- sexe Les relations durent aussi longtemps que les relations hétérosexuelles.
«Quand nous nous sommes rencontrées, j'avais 35 ans et elle 46. Nous avons maintenant 78 et 89 ans. »
Non contents d'attendre que leur État d'origine leur accorde le droit de se marier, le couple s'est rendu à New York pour célébrer leurs 30 ans de vie commune par un mariage.
Cette semaine, Willoughby et Goldstein célèbrent deux anniversaires : 13 ans de mariage et 43 ans de vie commune.
La photo que le couple a partagée a été prise sur le campus de l'Université Duke lors de la Durham Pride en juin 2014.
C'était très excitant d'être à la Pride ce jour-là, car c'était la première fois que nous y allions en tant que couple marié. Tout le monde était content, et s'il y avait des manifestants, nous ne les avons pas vus. Nous avons visité les nombreux stands et expositions installés, puis nous avons regardé le défilé.
Au cours de leur collaboration, Willoughby et Goldstein ont connu de nombreuses victoires et défaites dans la lutte pour les droits LGBTQ+, de la crise du sida à la loi « Don't Ask, Don't Tell » et son abrogation, en passant par l'égalité du mariage.(...)
(...) Mais, rappelle-t-elle aux plus jeunes, « les sympathisants sont bien plus nombreux qu'avant, et nous devons tous persévérer. Nous devons tout faire pour ne pas perdre les acquis. »
- «Nous sommes simplement heureux d’avoir passé tout ce temps ensemble », dit Goldstein, « et de pouvoir encore nous soutenir mutuellement. »...
Source ►lgbtqnation.com -18/06/2025
Poids: 
6

  
jill-johnson_1.jpgDOCUMENTAIRE "JJ"

Mediapart et Tënk s'associent autour de l'artiste et activiste Jill Johnston (photo)* dans JJ, un docu lesbien hors normes.

Le film part sur les traces de Jill Johnston (1929-2010), critique de danse, performeuse lesbienne et activiste américaine inclassable...
Un pèlerinage gouin en terres New-Yorkaise. C'est ce que nous offrent les artistes Pauline L. Boulba et Aminata Labor à travers le documentaire JJ, disponible sur Mediapart et Tënk, plateforme de cinéma documentaire.
De la manifestation en t-shirt "Gay Revolution" à la danse improvisée sur un toit la nuit, JJ reconstruit un héritage lesbien vibrant, cabossé, joyeusement non-linéaire. Le docu, dernier volet d’un triptyque qui comprend aussi une pièce et un livre, relève autant de l’autoportrait générationnel que de la transmission.
Témoignages, archives, scènes fictionnelles rejouées composent cette œuvre ovni où deux artistes partagent une enquête aussi émotive que politique.
Mais qui était vraiment Jill Johnston ?
Une pionnière, une imprévisible, une emmerdeuse comme on les aime. Elle a écrit plus de trente ans pour le média The Village Voice, de 1959 à 1981, où ses critiques de danse, poétiques et frondeuses réinventent le journalisme culturel.
Les descriptions de spectacles se mêlent à des digressions personnelles et des réflexions politiques. Ses textes, qui se radicalisent au fil du temps, sont aujourd'hui considérés comme les prémices d'une écriture queer contemporaine.
C’est aussi dans The Village Voice qu’elle publie les premiers fragments de ce qui deviendra Lesbian Nation : The Feminist Solution en 1973, un ouvrage qui rassemble ses chroniques articulées autour d'un même projet : poser le lesbianisme non comme une simple orientation sexuelle mais comme une réponse politique au patriarcat. Il est à la fois un autoportrait intime et un manifeste politique prônant le séparatisme lesbien.
Lors d'un débat organisé à New-York en 1971, qui réunit l'écrivain macho Norman Mailer et un groupe de féministes, Jill Johnston marque les esprits avec un texte poétique et surréaliste, dont les revendications sont accompagnées d'un humour corrosif. Pas une seconde elle ne tente pas de convaincre Mailer ou de produire une opinion nuancée.
Elle crie, brouille les repères, interrompt sa propre intervention pour exécuter une performance dansée avec deux amies lesbiennes, simili strip-tease à la clef, puis quitte la scène avant la fin de son temps de parole.
Ce que JJ offre à la communauté LGBTQI+, c’est une mise en abyme du style si particulier de l'autrice. Son travail est comme réincarné et traversé par une nouvelle génération.
Le film semble danser avec elle. Il doute, il cherche, et c’est dans cette tension entre hommage et trouble qu'il parvient à nous émouvoir. Comme n'a cessé de scander Jill Johnston avec sa verve inimitable :

"Toutes les femmes sont lesbiennes, sauf celles qui ne le savent pas encore."

Avec tendresse, humour et rage douce, le film réinvente notre rapport à l’héritage queer. Les archives vibrent, les corps parlent, et l’histoire se fait gouine."
Source ► tetu.com -17/06/2025

"Jill Johnston née Jill Crowe le 17 mai 1929, morte le 18 septembre 2010 est une journaliste, critique d'art, performeuse et écrivaine féministe américaine..."

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audrey-anderson-emmons_1.jpgLESBI COMING-OUT

Aubrey Anderson-Emmons  (photo) s'est dévoilée sur TikTok à ses fans de Modern Family, (série télévisée américaine) pour faire son coming out pendant le mois des fiertés.

L'actrice est surtout connue pour sa performance impassible dans le rôle de Lily Tucker-Pritchett dans Modern Family , a trouvé un moyen de faire son coming out : en se citant elle-même...
Dans un TikTok du mois des fiertés, la jeune femme de 18 ans a fait un playback sur l'un des moments les plus mémorables de la sitcom puis a ajouté le texte à l'écran : « Les gens n'arrêtent pas de plaisanter sur le fait que je sois gay alors que je le suis littéralement (je suis bi).
» Elle a ensuite partagé le clip sur Instagram, en le légendant ainsi : « Joyeux mois des fiertés à tous et à tous une bonne nuit hehehe

Anderson-Emmons a incarné Lily de l'âge de 4 ans jusqu'à la fin de la série en 2020, grandissant aux côtés de deux des pères gays les plus appréciés de la télévision, Mitchell et Cameron..."

Source ► gomag.com-17/06/2025
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