VIOLENCES LESBIENNES !
du 15 au 26 Novembre 2024 à Paris...
Quand les lesbiennes se font du cinéma
DOUCHE TRANS-ÉCOSSAISELa Première ministre indépendantiste écossaise, Nicola Sturgeon, fragilisée par une loi récente facilitant la transition de genre, a annoncé mercredi 15 février sa démission après huit ans au pouvoir, indiquent les médias britanniques.
Après l'adoption en décembre d'une loi très controversée facilitant la transition de genre, permise dès 16 ans et sans avis médical, est couronnée par un scandale : une femme transgenre condamnée pour avoir violé des femmes avant sa transition avait été incarcérée dans une prison pour femmes, créant de vives réactions. Elle a finalement été transférée vers une prison pour hommes...
En décembre de l’année dernière, le gouvernement de Sturgeon a adopté le projet de loi sur la réforme de la reconnaissance du genre, le faisant adopter à la hâte par le Parlement écossais...
Ses tentatives de remplacer le sexe par le genre dans les politiques effacent les femmes en tant que catégorie protégée, et les lesbiennes et les gays en tant que personnes de même sexe.
Surtout, sa fragilisation découle d’une virulente controverse liée à l’adoption d’une loi sur le genre fin décembre ainsi qu’à un imbroglio autour de l’emprisonnement dans une prison pour femmes d’un détenu trans condamné pour deux viols.
Le groupe de campagne féministe For Women Scotland considère son départ de ses fonctions comme une victoire.
Marion Calder, cofondatrice de FWS, a déclaré au Times. « C’est l’échec de Nicola à pouvoir dire qu’un violeur était un homme en transition ... Elle a commis l’erreur d’ignorer les femmes et d’écouter les groupes de pression qui partageaient un point de vue. »
La décision de Sturgeon fait suite à une controverse sur le détenu transgenre Adam Graham, maintenant connu sous le nom d’Isla Byron. Graham – un violeur condamné – a été incarcéré dans la prison pour femmes Corton Vale – une décision qui a provoqué le plus grand scandale de la carrière de Sturgeon.
Cette affaire a attiré l’attention des médias nationaux, soulignant la tension entre les politiques d’auto-identification et la protection des femmes contre la violence masculine.
Bien que les sondages montrent systématiquement que la grande majorité des Écossais sont contre l’auto-identification, la coalition SNP-Verts en a fait une priorité.
Tout au long du processus de consultation, les préoccupations des féministes ont été ignorées.
Reem Alsalem – Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes et les filles – a écrit au gouvernement écossais pour critiquer le GRR. Elle a averti que la suppression de la nécessité pour les personnes transgenres d’obtenir un diagnostic médical pour un certificat de reconnaissance de genre pourrait « ouvrir la porte aux hommes violents qui s’identifient comme des hommes pour abuser du processus d’acquisition d’un certificat de genre et des droits qui y sont associés ». Sturgeon a rejeté Alsalem comme « la personne de l’ONU ».
Une source anonyme du SNP a révélé que l’accent mis par le parti sur l’auto-identification prendra probablement fin avec le règne de Sturgeon. « Nous devons nous remettre sur les rails en poursuivant des choses qui comptent pour le peuple écossais, et non en poussant des choses auxquelles le public s’oppose avec véhémence.
« Je m’attends à ce que les réformes du genre soient parquées quelque part le plus rapidement possible. Tout nouveau dirigeant sensé voudra retirer cela des premières pages, et rapidement. »
Source ►afterellen.com - 17/02/2023
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TRANS FEMMES-vs-LESBIENNES ?
Suite à des publications sur Facebook où l’artiste et musicienne Tonje Gjevjon (photo) risque une amende ou un an de prison pour avoir enfreint l’article 185 du Code pénal qui interdit les « discours haineux ».
« Le projet de loi sur la réforme de la reconnaissance du genre en Écosse, s’il est adopté, permettra à tout homme de se déclarer femme et lesbienne. Une lesbienne qui le conteste peut être reconnue coupable en vertu du projet de loi sur les crimes de haine et l’ordre public (Écosse) pour aggravation des infractions par préjugés. Pour être clair, il est considéré comme un préjugé de dire qu’un homme ne peut pas être lesbienne. »..
La croyance que le sexe est binaire et que les hommes ne peuvent pas être des femmes n’est pas haineuse, mais comme nous l’avons vu à maintes reprises au cours des dernières années, les femmes seront criminalisées pour avoir souligné le puissant nouveau transactivisme
Aujourd’hui, LGB Alliance emmène Tonje en tournée au Royaume-Uni pour sensibiliser le public au danger que les lois sur l’auto-identification représentent pour toutes les femmes et les filles, et pour la réalité elle-même... "
Source ►afterellen.com -16/02/2023
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DÉCISION ABJECTE !
Les droits parentaux de Kris Williams (photo) ont été transférés à un donneur de sperme parce qu’elle était lesbienne.
Un juge de l’Oklahoma s’est rangé du côté d’un donneur de sperme plutôt que d’une mère lesbienne dans une affaire de garde, citant que les lois de l’État ne donnent pas la priorité au mariage homosexuel...
Kris Williams et Rebekah Wilson se sont mariées à l’été 2019, et le couple a eu un fils par insémination artificielle peu de temps après.
Alors que R. Wilson portait l’enfant, K. Williams était là pour la naissance et était inscrite sur le certificat de naissance aussi comme la mère du garçon.
Lorsque le couple de lesbiennes a demandé le divorce en 2022, Wilson a demandé au tribunal de retirer le nom de Williams du certificat de naissance de l’enfant. Le tribunal a ensuite statué en janvier de l’année dernière que Kris Williams « n’avait pas poursuivi un recours juridique pour établir les droits parentaux » et aurait dû adopter l’enfant.
Mais le 1er juin (2022), la juge de district du comté, Lynne McGuire, est revenue sur la décision initiale et a déclaré que Williams resterait sur le certificat de naissance de son fils, a confirmé son avocat.
Selon kris Wiliams, elle et son ex-partenaire avaient prévu d’avoir leur fils et ont réussi à trouver un donneur de sperme – Harlan Vaughn – sur un site Web de paternité.
Après ce qui a été décrit comme une rupture « amère », K. Wilson a emménagé avec le donneur Vaughn – emmenant l’enfant avec elle.
Cependant, la question des droits parentaux de Williams n’a été tranchée que lundi (13 février), lorsque le juge McGuire a statué que la loi sur la filiation de l’Oklahoma était antérieure à l’égalité du mariage – et a déclaré qu’elle ne s’appliquait pas à la situation de Williams et Wilson.
« [La loi] ne prend pas en compte le mariage homosexuel, et il n’y a aucune présomption que la femme de la mère est automatiquement présumée être le parent d’un enfant né pendant le mariage », a écrit McGuire, selon The 19th.
Les experts juridiques ont averti que l’affaire pourrait avoir des implications importantes pour l’égalité du mariage aux États-Unis.
L’avocate de Williams, Robyn Hopkins, a déclaré qu’ils demanderaient une décision d’appel.
- « J’ai l’impression que c’est l’appel à l’aide de notre communauté et que nous avons besoin de tout le monde sur le pont. Je compare cela à une catastrophe naturelle. »...
Source ►thepinknews-16/02/2023
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ESPAGNE CONGÉ MENSTRUEL !
Grande première en Europe. Les députés espagnols ont voté définitivement, jeudi 16 février, une loi créant un "congé menstruel" pour les femmes souffrant de règles douloureuses.
"C'est un jour historique pour les avancées féministes", a lancé sur Twitter la ministre de l'Egalité Irene Montero (photo) , membre de la formation de gauche radicale Podemos, alliée des socialistes au sein de l'exécutif...
L'Espagne adopte une loi créant un "congé menstruel", une première en Europe Cette mesure fait partie d'un texte beaucoup plus large qui renforce notamment l'accès à l'avortement dans les hôpitaux publics.
C'est une mesure inédite sur le continent, destinée, selon le gouvernement de gauche, à briser un tabou. Elle fait partie d'un texte beaucoup plus large qui renforce notamment l'accès à l'avortement dans les hôpitaux publics. Cette mesure est déjà en vigueur dans d'autres pays du monde, comme le Japon, l'Indonésie ou la Zambie.
Avec cette loi, "l'arrêt de travail d'une femme en cas de règles incapacitantes" liées, par exemple, "à des pathologies comme l'endométriose" sera "reconnu comme une situation spéciale d'incapacité temporaire" de travail.
- "Il s'agit d'accorder à cette situation pathologique une régulation adaptée afin d'éliminer tout biais négatif" pour les femmes "dans le monde du travail", ajoute le texte. Aucune précision ne figure dans la loi sur la durée de cet arrêt maladie, qui devra être accordé par un médecin et sera financé par la Sécurité sociale..."
Source ►francetvinfo.fr-16/02/2023
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NOS HEROÏNES...
Cette pionnière queer a été influente dans la lutte contre le racisme et le sexisme, et leur histoire est une histoire que tout le monde devrait connaître.
Le documentaire original (08/2022) d’Amazon "My Name Is Pauli Murray" raconte l’histoire d'un parcours extraordinaire d’enfant noire grandissant dans le Sud ségrégationniste, à une défenseuse pionnière qui a aidé à façonner la législation sur la race et l’égalité des sexes...
Il ne fait aucun doute que Pauli Murray (20/11/1910 - 01/071985 à 74 ans) a vécu une vie exceptionnelle. Il s’agissait d’une activiste noire non binaire, d’une avocate, prêtre et poète dont le travail a eu un grand impact d’Eleanor Roosevelt à Thurgood Marshall et Ruth Bader Ginsburg.
Elle a été la première personne noire à recevoir un doctorat de la faculté de droit de Yale, et le livre States' Laws on Race and Color, écrit en 1950, qui a été cité par Marshall comme le document clé dans la lutte contre la ségrégation raciale.
Pauli Murray a également été une pionnière des droits des femmes, en tant que coauteure du mémoire de Ginsburg pour sa victoire historique Reed v. Reed à la Cour suprême, qui a donné aux femmes plus de contrôle sur les successions.
"My Name Is Pauli Murray", qui est raconté en grande partie avec ses propres mots, est un récit candide, fascinant et inspirant de leur voyage.
Pauli Murray était également queer et a lutté avec son identité de genre tout au long de sa vie. En d’autres termes, son histoire est une histoire de découverte personnelle et le plaidoyer infatigable est tout aussi pertinent et convaincant aujourd’hui plus qu’il ne l’a jamais été.
Aujourd'hui, Pauli Murray sera la première personne queer noire sur la devise américaine"
Source ►advocate.com - 30/08/2022 et 10/02/2023
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PARTICIPATIONS & DONS
