IRELANDE THÉRAPIE
Les signataires du mémorandum comprennent le Collège des psychiatres d'Irlande, la Société psychologique d'Irlande et l'Association irlandaise pour le conseil et la psychothérapie.
Un mémorandum commun renonçant aux pratiques néfastes des « thérapies de conversion » a été publié aujourd'hui par le Collège des psychiatres d'Irlande, la Société psychologique d'Irlande et l'Association irlandaise pour le conseil et la psychothérapie...
En condamnant les pratiques de « thérapie de conversion », les organisations espèrent défendre et soutenir la communauté LGBTQ+ irlandaise.
Selon l'Association britannique pour le conseil et la psychothérapie, la « thérapie de conversion » fait référence à l'hypothèse selon laquelle « certaines orientations sexuelles ou identités de genre sont inférieures à d'autres et cherche à les modifier ou à les supprimer sur cette base ».
(...)Le président du Collège des psychiatres d'Irlande, le Dr Lorcan Martin, s'est exprimé sur la tendance inquiétante de la psychiatrie, déclarant : « Il n'y a pas de place, dans une société moderne et progressiste, pour une thérapie de conversion, qui cherche à cibler et à affaiblir certaines personnes présentant des problèmes potentiellement très graves. résultats.
-«L'absence d'inclusion ou d'acceptation sociétale peut avoir un impact négatif majeur sur la santé mentale d'une personne, et nous espérons que l'annonce d'aujourd'hui contribuera à informer le public des risques de la thérapie de conversion, à garantir que les professionnels de la santé sont conscients des problèmes liés à cette pratique et, à terme, cette thérapie de conversion sera totalement éradiquée sur l’île d’Irlande ». (...)
-"Nous pensons que la thérapie de conversion crée des dommages psychologiques durables et ne doit pas être pratiquée en Irlande ni dans aucun autre pays"...
Source :► gcn.ie- 12/07/2024
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CAMEROUN -En divulguant récemment son homosexualité, Brenda Biya (photo), la fille du président du Cameroun, pourrait perdre beaucoup. Mais la jeune femme a fait le choix de refuser de se perdre.
Le 30 juin, Brenda Biya, postait sur Instagram une photo d’elle embrassant chaleureusement sa petite amie...
Un coming-out qui a énormément fait parler car au Cameroun, l’homosexualité est un crime passible de 5 ans de prison.
Brenda a partagé les risques qu’elle encourt pour avoir annoncé son homosexualité : "Je peux perdre beaucoup : froisser les liens avec ma famille, ne plus avoir le droit d’aller dans mon pays, être mise en prison…"
Et être la fille du président, contrairement à ce que certains pourraient penser, c’est comme être dans "une prison dorée". D’ailleurs, les parents de Brenda lui ont demandé de supprimer sa publication, ce qu’elle avait refusé.
Alors pourquoi prendre un si grand risque ? Parce que Brenda Biya sait ce que ça fait d’être habité par le "mal-être" : "Je n’avais pas l’impression d’être complètement moi.", a-t-elle confié. Elle désire aussi aider "les gens qui souffrent à cause de ce qu’ils sont" et leur "donner de l’espoir"
Mais aujourd’hui, la publication Instagram n’est plus visible. Peut-être que la pression était trop lourde pour les épaules de la fille du président du Cameroun qui a reçu beaucoup de soutien, certes, mais a également fait face à de nombreuses réactions homophobes."...
Source :► rtbf.be/- 12/07/2024
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VIVA ESPANA
ESPAGNE - Un million de personnes ont célébré la Fierté 2024 à Madrid (vidéo)
Les organisateurs comme les participants ont mis l’accent sur l’éducation à la diversité pour lutter contre la LGTBIphobie, et ont appelé à la fin de la guerre en Palestine.
Partant de la gare d’Atocha, le vrombissant cortège de bus et de chars a longé le Paseo del Prado pour s’achever sur la Plaza de Colón.
Madrid Pride (MADO) est la plus grande célébration des fiertés LGBTQI+ en Espagne. Débutant chaque année à la fin du mois de juin, elle propose une série d’événements qui durent une semaine et se terminent par la grande marche le premier samedi du mois de juillet." -
Source :► fugues.com - 10/07/2024
VIDÉO YouTube ►PRIDE MADRID 2024
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ESTAMPES JAPONAISES...
JAPON - Dans l'impossibilité de se marier légalement au Japon, les couples LGBTQ célèbrent leur lien spécial en enfilant des kimonos traditionnels et des tenues de soirée à la mode pour des "mariages photo" élaborés
Tout le monde, comme mes parents ou mes amis, ne connaît pas notre relation. Nous avons pensé que ce serait bien si nous pouvions laisser un souvenir tangible rien que pour nous deux" a déclaré le couple lesbien...
Mais ces images soigneusement chorégraphiées restent souvent cachées dans cette société conservatrice où de nombreuses personnes LGBTQ disent être confrontées à des préjugés et à la stigmatisation, même de la part de leur propre famille.
Elle a déclaré qu'ils avaient eu du mal à trouver un studio pouvant accueillir un couple de même sexe pour le tournage, ce qu'ils ont fait le jour où ils ont déposé une demande pour conclure un accord de partenariat avec leur municipalité.
Le Japon est le seul membre du Groupe des Sept (G7) pays industrialisés qui ne reconnaît pas le mariage homosexuel et n'offre pas de protection juridique aux personnes LGBTQ, malgré les sondages montrant le soutien du public et les décisions de justice qui ont jugé sa position inconstitutionnelle.
Alors que des centaines de municipalités à travers le Japon, couvrant plus de 80 % de la population, autorisent les couples de même sexe à conclure des accords de partenariat, leurs droits sont limités.
Les partenaires ne peuvent pas hériter des biens de chacun ni avoir de droits parentaux sur les enfants de chacun. Pouvoir rendre visite à leurs proches hospitalisés n’est même pas garanti. L’année dernière, le gouvernement conservateur a également eu du mal à faire adopter une loi destinée à lutter contre la discrimination à l’égard des groupes LGBTQ. (...)
Des changements ont lieu au Japon, quoique lentement..."
Source :► usnews.com/ - 08/07/2024
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ANGIE GREG TACLE JOE BIDEN !
ÉTATS-UNIS - La représentante du Minnesota, Angie Craig (photo) est la cinquième législatrice démocrate – et la première femme lesbienne – à appeler le président à se retirer et à permettre à quelqu'un d'autre de défier Donald Trump.
La représentante américaine Angie Craig du Minnesota est devenue la dernière d'une liste croissante de démocrates législateurs exhortant publiquement le président Joe Biden à se retirer et à permettre à un nouveau candidat de diriger le parti lors de la course présidentielle de 2024...
Angie Craig, qui est la première membre LGBTQ + du Congrès à lancer cet appel, se joint à un chœur de voix exprimant des doutes sur la capacité de Biden à faire campagne efficacement contre l'ancien président Donald Trump.
Dans une déclaration publiée samedi matin sur X (anciennement Twitter ), Craig a reconnu les décennies de service et de réalisations législatives de Biden, mais a souligné sa récente performance au débat comme un facteur critique dans sa décision.
- "Compte tenu de ce que j'ai vu et entendu de la part du président lors du débat de la semaine dernière à Atlanta, couplé à l'absence de réponse énergique de la part du président lui-même à la suite de ce débat, je ne crois pas que le président puisse faire campagne efficacement et gagner contre Donald Trump",a-t-elle écrit.
Angie Craig a félicité Biden pour avoir adopté des lois critiques telles que la loi bipartite sur les infrastructures et la loi CHIPS and Science.
Elle a également souligné sa collaboration avec Biden sur des projets de loi plafonnant les coûts de l’insuline pour les personnes âgées, élargissant le soutien en matière de santé mentale aux policiers et à leurs familles et investissant dans des ressources pour lutter contre la crise du fentanyl à la frontière sud."
Source :► advocate.com -06/07/2024
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PARTICIPATIONS & DONS
