VIOLENCES LESBIENNES !
du 15 au 26 Novembre 2024 à Paris...
Quand les lesbiennes se font du cinéma
LESBICIDES en AFRIQUE du SUDUn jeune couple de lesbiennes a été sauvagement assassiné au KwaZulu-Natal, apparemment par l'ancien partenaire masculin de l'une des victimes.
Selon les médias, le 27 août, Nombulelo Bhixa, 28 ans, et Minenhle Ngcobo, 22 ans (photos) ont été approchées par l'ex-petit ami de Ngcobo à Edendale, Pietermaritzburg. Une dispute s'est ensuivie, au cours de laquelle l'homme aurait tiré une balle dans la tête des deux femmes...
- « Tout ce que je sais, c’est qu’elles étaient très amoureuses l’une de l’autre. Nous sommes choqués et navrés par cette tragédie insensée », a déclaré leur amei proche s'adressant aux médias.
Newzroom Africa a suggéré que le mobile du meurtre était l'incapacité de l'ex-petit ami à accepter que la mère de son enfant ait une relation amoureuse avec une femme.
On pense que l'homme avec qui Ngcobo a partagé un enfant harcelait le couple depuis un certain temps. Ngcobo avait précédemment déposé une ordonnance de protection contre le suspect suite à des informations faisant état de violences dans leur relation.
Dans un communiqué, le réseau Uthingo, basé à Pietermaritzburg, a condamné ce meurtre, le qualifiant de rappel brutal et déchirant de l'homophobie et de la violence profondément enracinées qui continuent de sévir dans la société sud-africaine.
L’organisation a souligné que les crimes haineux contre la communauté LGBTIQ+, en particulier dans les zones rurales, sont souvent sous-déclarés et insuffisamment traités.
- « La marginalisation systémique des personnes LGBTIQ+, aggravée par un manque de sensibilisation et de compréhension dans les communautés rurales, crée un environnement dans lequel de telles atrocités peuvent se produire à une fréquence alarmante », a ajouté Brian Sibeko-Ngidi, directeur du réseau Uthingo. (...) .
Le meurtre de Nombulelo Bhixa et Minenhle Ngcobo marque le troisième incident mortel connu affectant la communauté LGBTIQ+ d'Afrique du Sud au cours du mois dernier.
Une femme transgenre de 22 ans, Le 9 août, Clément Hadebe, a été abattue à Johannesburg par un agresseur inconnu alors qu'elle rentrait chez elle tôt le matin. Le 18 août, Xolani Xaka, 32 ans, a été poignardé à mort à plusieurs reprises par un groupe d'hommes à l'entrée de son domicile à Gqeberha, dans la province du Cap oriental.
Sibeko-Ngidi a appelé le gouvernement à donner la priorité à l'application de la législation sur les crimes haineux et à garantir que la police soit équipée pour traiter ces affaires avec le sérieux qu'elle exige.
Il a en outre souligné le besoin urgent de programmes d'éducation et de sensibilisation communautaires qui engagent les chefs traditionnels, les institutions religieuses et les organisations communautaires pour remettre en question les préjugés qui alimentent une telle violence..."
Source : ► mambaonline.com - 03/09/2024
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ALMODOVAR ❤️ PARA SIEMPRE"Main dans la main avec ses actrices principales Julianne Moore et Tilda Swinton, Pedro Almodóvar est venu lundi soir à l'avant-première de son nouveau film "The Room Next Door" à la Mostra de Venise.
Le drame relationnel "The Room Next Door", son dernier film, est entré lundi soir en lice pour le Lion d'or, qui sera décerné le 7 septembre lors de la finale de la 81e édition du festival du film...
Le film est adapté d'un roman de Sigrid Nunez "Quel est donc ton tourment ?" (dont beaucoup pensent qu'il évoque les derniers jours de Susan Sontag, romancière et militante lesbienne américaine). Tout comme Sontag, Tilda Swinton incarne dans le film une écrivaine de talent qui fait face à sa propre fin comme s'il s'agissait d'une expérience philosophique.
L'objectif est de s'imposer face à 20 autres productions cinématographiques internationales en compétition, dont « Joker : Folie à Deux » avec Joaquin Phoenix (49 ans) et « Queer » avec Daniel Craig (56 ans).
"The Room Next Door", qui met également en vedette John Turturro, est le premier long métrage d'Almodóvar en anglais.
Dans le drame, Moore incarne une auteure à succès nommée Ingrid qui reprend un jour contact avec son ancienne amie Martha (Swinton).
La correspondante de guerre est gravement malade et doit subir divers traitements. Son destin amène Ingrid à accepter de plus en plus sa propre mortalité."
En Allemagne, « The Room Next Door » sortira en salles le 24 octobre."
Source : ► queer.de/ - 03/09/2024
Le premier long-métrage en langue anglaise du cinéaste espagnol est un coup de maître, nimbé dans une mélancolie profonde.
L'œuvre du cinéaste Pedro Almodóvar est généralement tournée vers les aspects les plus saisissants de la vie sur Terre : l'amour, le sexe, le deuil, le souvenir, le remords. Au cours de sa prodigieuse carrière, il s'est parfois permis quelques digressions, mais sans jamais oublier d'en revenir vers des films qui mettent en scène toute la passion et le drame de l'expérience humaine.
Ces dernières années, ses œuvres se sont pourtant parées de reflets plus sombres, comme dans Madres paralelas (2021) ou Douleur et Gloire (2019), le cinéaste semblant peu à peu se laisser gagner par des questionnements sur la mort et la finitude. Dans The Room Next Door, présenté en avant-première lundi à la Mostra de Venise, le réalisateur regarde la mort en face, et c'est une grande réussite.
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POLYAMOUR LESBIENGRANDE-BRETAGNE - Les membres d'un groupe de lesbiennes non monogame ont parlé de leur relation à trois.
Kaylie, Ness et Katie (photo) ont déclaré que leur relation polyamoureuse leur a permis d'apprendre que " l'on peut aimer plus d'une personne de la même manière"...
Ness a déclaré : « C'est notre première relation polyamoureuse. Nous reconnaissons quatre relations différentes.
La polyamorie est un terme générique qui décrit les relations non monogames où chaque partenaire est conscient et consentant à chaque appariement.
Le terme peut désigner des relations telles que la polyamorie sur la table, dans laquelle chaque membre entretient une relation platonique et amicale avec celles avec qui elle ne sort pas. Il peut également inclure l'anarchie relationnelle, dans laquelle il n'existe aucune règle définissable et les normes culturelles sur ce qu'est ou devrait être une vraie relation.
Ness et Katie étaient ensemble depuis quatre ans avant de fonder le trio, et ont donné à Kaylie suffisamment de temps pour s'acclimater.
- "Nous avions une nouvelle énergie relationnelle, toutes les deux, simultanément, avec notre nouvelle partenaire », a poursuivi Ness. « Nous devions nous assurer que Katie et Kaylie avaient le temps de nouer des liens et de former une relation amoureuse. Nous devions également nous assurer de donner la priorité au temps que nous consacrions tous les trois à former cette relation symbiotique."
Au sein de cette dynamique, chaque couple a ses propres passe-temps, centres d’intérêt et façons de passer du temps ensemble. Bien que la dynamique de trio fonctionne pour elles, un niveau élevé d’« intelligence émotionnelle » est nécessaire pour la maintenir.
- "Nous devons nous fixer des normes un peu plus élevées. Et avoir un niveau de communication et de transparence aussi plus élevé."
Le trio a admis qu'elles étaient aussi confrontées à de nombreux commentaires négatifs de la part de personnes qui « pensent que c'est mal », mais leur amour est plus fort que toute rhétorique discriminatoire.
- "Nous essayons de normaliser cela dans le sens où nous aidons les gens à comprendre que nous existons », a ajouté Ness."
Source : ► pinkNews / gayvox.fr 30/08/2024
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Marie Patouillet : "Je dédie cette médaille à ma femme" :Le compteur français des médailles françaises aux Jeux paralympiques est ouvert !
La cycliste Marie Patouillet (photo) a ouvert le score de la France dès le premier jour des Jeux paralympiques de Paris 2024, en remportant une médaille d'argent ce jeudi 29 août.
Marie Patouillet a déclaré - "Je dédie cette médaille à ma femme"
Elle remporte l'argent lors des Jeux paralympiques de Paris 2024... "
Source tetu.com 29/08/2024: ► Suite article complet
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TRANS-PROGRESSIONAUSTRALIE - La Cour fédérale d'Australie s'est prononcée en faveur de la transexuelle Roxanne Tickle (photo à dr), ordonnant à l'application "Giggle for Girls" et à son PDG Sall Grover (photo à g) de payer 10 000 dollars australiens (environ 5 100 dollars) plus les coûts de discrimination indirecte après avoir refusé à Tickle d'accéder à la plateforme.
L'affaire, connue sous le nom de "Tickle vs Giggle", est la première fois que la discrimination fondée sur l'identité de genre est invoquée par le tribunal fédéral australien...
Le juge Robert Bromwich a constaté que si Sall Tickle n'était pas directement victime de discrimination fondée sur son identité de genre, elle était victime d'une discrimination indirecte. Le juge a déclaré que la jurisprudence avait toujours trouvé que le sexe était « modifiable et pas nécessairement binaire », contestant la définition du sexe basée sur la biologie de l'application
Roxanne Tickle, qui vit en tant que femme depuis 2017, a d'abord eu accès à l'application en 2021 après avoir téléchargé un selfie qui a été vérifié comme femelle par le logiciel d'IA. Cependant, son adhésion a été révoquée sept mois plus tard. Elle a fait valoir qu'elle avait légalement le droit d'utiliser les services destinés aux femmes et a affirmé qu'elle était victime de discrimination fondée sur son identité de genre.
- "Je suis satisfaite de l’issue de mon cas et j’espère qu’il guérira pour des personnes transgenres et des personnes de genre. La décision montre que toutes les femmes sont protégées contre la discrimination", a déclaré Tickle devant le tribunal,. Elle a ajouté : - "J’ai porté mon cas devant les tribunaux pour montrer aux transexuels que vous pouvez être courageux et que vous pouvez vous défendre vous-même".
L'équipe juridique de l'application a fait valoir que le sexe est un concept biologique et que le refus d'accès à Tickle constituait une discrimination légale par sexe, car l'application était conçue pour exclure les hommes. Cependant, le juge Bromwich a rejeté cette position, notant que la loi sur la discrimination sexuelle du pays reconnaît que le sexe d'une personne n'est pas limité à être un homme ou une femme.
Sall Grover, la fondatrice de l'application qui se décrit comme une « TERF » (féministe radicale trans-exclusionniste), a répondu sur X : -"Malheureusement, nous avons obtenu le jugement que nous avions prévu. La lutte pour les droits des femmes se poursuit."
Elle a déjà déclaré qu'elle ferait appel de la décision de la cour et qu'elle lutterait jusqu'à la Haute Cour d'Australie."
Source : ► attitude.co.uk - 26//08/2024
AUTRE ARTICLE :(controverse)
*** Article BBC NEWS par Sofia Bettiza :
Une femme transgenre australienne remporte un procès historique contre une application réservée aux femmes... "
"Un tribunal australien se prononce dans une affaire historique qui demandait « Qu'est-ce qu'une femme ? »
"(...) Mais Grover estime qu’aucun être humain n’a ou ne peut changer de sexe – ce qui est le pilier de l’idéologie critique du genre.
Lorsque l'avocate de Tickle, Georgina Costello KC, a contre-interrogé Grover, elle a déclaré :
"Même lorsqu'une personne à qui on a attribué un homme à la naissance passe à une femme en subissant une intervention chirurgicale, des hormones, se débarrasse des poils du visage, subit une reconstruction faciale, laisse pousser ses cheveux longs, se maquille, porte des vêtements féminins, se décrit comme une femme, se présente comme une femme, utilise des vestiaires féminins, modifie son acte de naissance – vous n'acceptez pas que ce soit une femme ?
"Non", a répondu Grover.
Elle a également déclaré qu'elle refuserait d'appeler Tickle «Mme» et que «Tickle est un mâle biologique..."
Source VO - https://www.bbc.com/news/articles/c07e
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PARTICIPATIONS & DONS
