"Trente-trois familles ont déposé un recours en justice après que le parquet a contesté les actes de naissance de leurs enfants, en s’appuyant sur un texte du gouvernement italien d’extrême droite de Giorgia Meloni.
Un couple de mère lesbiennes de deux garçons de 7 et 4 ans et de jumelles de 40 jours, Sara et Elisa étaient convoquées mardi 14 novembre par le tribunal de Padoue (Vénétie) à propos de l’état civil de leur deuxième fils et s’attendaient déjà à l’être, à l’avenir, pour leurs filles. (...)...
Tout a commencé en juin dernier, quand le parquet de Padoue a contesté les actes de naissance de tous les enfants de couples lesbiens enregistrés par la Ville depuis 2017.
Cette décision fait suite à une circulaire du ministère de l’Intérieur de janvier 2023, ordonnant aux maires de ne plus inscrire le deuxième parent sur les actes de naissance des familles homoparentales. Seules les mères ayant accouché peuvent désormais être reconnues.
Concrètement, pour un couple, cela signifie que la mère qui n’a pas accouché devra demander l’autorisation de sa conjointe pour aller chercher son enfant à l’école, l’emmener chez le médecin ou à l’hôpital… Et pire, en cas de décès de la mère ayant porté l’enfant, celui-ci serait considéré comme orphelin.
(...) Selon le classement annuel de la situation des droits humains des personnes LGBT+ en Europe, réalisé par l’Ilga-Europe, la péninsule est 34ᵉ sur 49 pays.
Comme la PMA est interdite aux couples lesbiens sur le territoire national, aucune loi ne garantitl a reconnaissance de ces enfants. Jusqu’ici, les agents de l’état civil acceptaient souvent d’inscrire le nom de la deuxième mère sur les actes de naissance, notamment à Padoue. Mais le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni s’est emparé de ce vide juridique pour s’acharner contre son ennemi numéro deux, après les migrants : les homosexuels..."
Source ► telerama.fr - 26/11/2023
Il y a une nouvelle pression pour que davantage d’éléments de la chirurgie de transition de genre soient couverts par Medicare, la Société australienne des chirurgiens plasticiens appelant le gouvernement à élargir la gamme de soutien offerte.
Comme l’a rapporté le journal The Age , l’organisme médical a demandé que 21 articles qui couvrent le traitement de l’incongruence de genre soient ajoutés à la liste des chirurgies couvertes par le financement fédéral...
À l’heure actuelle, certaines parties du processus chirurgical sont couvertes, ce qui oblige les personnes qui souffrent d’incongruence de genre à passer souvent des années de leur vie à économiser pour des procédures, à puiser dans les fonds de pension ou à se rendre à l’étranger pour des alternatives moins chères et parfois moins sûres.
La demande déposée auprès du Comité consultatif des services médicaux du gouvernement soutient que le système actuel est fragmenté et qu’il a besoin d’une refonte.
Ils proposent qu’un large éventail de services soient couverts par un financement gouvernemental, y compris la chirurgie thoracique d’affirmation de genre, la chirurgie de reconfiguration génitale, les procédures faciales et la chirurgie vocale.
En 2021, une pétition de 140 000 signatures a été présentée au parlement pour demander la prise en charge de la chirurgie de genre. À l’époque, le ministre libéral de la Santé, Greg Hunt, avait noté qu’il n’y avait pas eu de demande officielle pour ajouter de nouveaux éléments à la liste de l’assurance-maladie, ce que la Société australienne des chirurgiens plasticiens a maintenant rectifié.
Les appels à ce que les chirurgies soient couvertes par Medicare ne sont pas nouveaux, Un rapport de l’État de Victoria report highlighted the issue in 2019 a mis en évidence le problème en 2019, la branche tasmanienne du parti travailliste a voté en faveur d’une telle politique en 2018 et OUTinPerth a publié des appels à un changement de politique en 2012.
La sénatrice libérale Claire Chandler s’est opposée à cette demande.
« C’est incroyable que le Parti travailliste envisage cette politique des Verts soutenue par le lobby des chirurgiens plasticiens. » », a déclaré le sénateur Chandler en réponse aux reportages des médias au sujet de la demande.
Un porte-parole du ministère de la Santé a déclaré que la demande serait examinée le mois prochain, puis pourrait faire l’objet d’un examen complet en 2024....
Source ► outinperth.com - 20/11/2023
"NON À L' ARTICLE 4 QUI PRÉVOIT DE PUNIR D’UN AN D’EMPRISONNEMENT ET DE 15 000 EUROS D’AMENDE TOUTE PERSONNE QUI DÉNONCERAIT LES GRAVES EFFETS INDÉSIRABLES DES MÉDICAMENTS ET DES VACCINS !"
P.S. Le temps presse ! Nous n’avons que jusqu’au 19 décembre pour nous faire entendre. Votre voix est plus importante que jamais. Signez la pétition !!
SI CE TEXTE PASSE, LE GOUVERNEMENT, LES LOBBYS, LES LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES… AURONT GAGNÉ !!
- Le gouvernement s’apprête à faire voter un texte qui punirait d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende toute personne qui dénoncerait les graves effets indésirables des médicaments et des vaccins. Médecins, journalistes scientifiques, lanceurs d’alerte, maisons d’éditions de santé, thérapeutes, praticiens de la santé, ou même VOUS… nous sommes TOUS menacés par cet article 4 !
(...) Il est temps de se lever, de se faire entendre, de refuser ensemble cette loi qui vise à museler notre droit à la parole, à la vérité. APPEL À LA MOBILISATION NATIONALE Signez ici la pétition pour l’ABOLITION de l’ARTICLE 4 !!!
Si nous sommes unis, nous pouvons faire la différence.
Chaque signature compte ! Voilà ce que cet article liberticide veut dire :
❌ Un médecin ou un scientifique, qui dénoncerait le Médiator ou le VIOXX comme responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, serait puni d'un an d'emprisonnement !
❌ Des directeurs de recherches comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !
❌ Un lanceur d’alerte qui alertait sur les graves effets indésirables du Gardasil - allant jusqu'au décès des patients - alors qu'il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer… tomberait lui aussi sous le coup de l’article 4 !
❌ Une association comme 60 millions de consommateurs, qui mettrait en garde les Français contre des médicaments en vente libre tels qu'Actifed, Maxilase, Spasfon, Strepsils, Lysopaïne, ou Oscillococcinum, en les signalant comme potentiellement inefficaces ou dangereux et responsables de graves effets secondaires comme des hémorragies gastro-intestinales, pourrait alors écoper de 15 000 euros d'amende !
❌ Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments autorisés mais plus dangereux qu’utiles, tomberait elle aussi sous le coup de cet article 4 ! Eh hop, en prison pour un an et 15 000 euros d’amende !!...