ÉDITIONS SAPHIQUES... "La Légende Éditions"La romancière Virginie Despentes, auteure notamment de la trilogie à succès "Vernon Subutex", va créer une maison d'édition dédiée "aux enjeux sociétaux de la culture queer et féministe", a-t-elle annoncé au magazine Livres Hebdo.
En association avec la photographe et vidéaste Axelle Le Dauphin, "La Légende Editions" publiera une dizaine de titres par an. Le premier ouvrage sera consacré au Pulp, mythique club lesbien parisien disparu.
Cette maison d'édition a pour objectif de "promouvoir la représentation et la visibilité de la culture queer", qui englobe les identités de genre et orientations sexuelles minoritaires, non binaires, "et féministe par la création d'un collectif de recherche, de défense, d'archivage et de diffusion de l'art et la culture queer et féministe".
(...) "La Légende Éditions" travaillera "à la déconstruction des stéréotypes de genre, et la lutte contre le sexisme", selon l'hebdomadaire. Le 27 janvier, Virginie Despentes, 52 ans, éditée par Grasset (Hachette Livre), s'est inquiétée dans les colonnes de Libération de l'OPA lancée par le groupe Bolloré sur Lagardère qui contrôle notamment Hachette Livre.
(...) Elle a reçu le prix Renaudot en 2010 pour "Apocalypse bébé" et, en 2015, le prix Anaïs Nin, le prix Landerneau et le prix de la Coupole pour le premier volet de "Vernon Subutex" adapté récemment en série pour la télévision. En 2019, Virginie Despentes a été lauréate du prix de la Bibliothèque nationale de France pour l'ensemble de son oeuvre. Elle est ainsi la première femme auteure de fiction à recevoir cette récompense qui, dans le passé, a couronné des écrivains comme Patrick Modiano, Michel Houellebecq, Jean Echenoz ou encore l'historienne Mona Ozouf ou l'helléniste Paul Veyne. Au cinéma, elle a co-adapté "Baise-moi" avec la réalisatrice Coralie Trinh Thi et s'est chargée elle-même de la réalisation de "Bye Bye Blondie" d'après son roman éponyme.
Source e-llico.com 01/03/2022 ►Suite de l'article...
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Source e-llico.com 01/03/2022
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HANDI-LGBT, cela doit changer !
Royaume-Uni - Les livres d'histoire devraient être pleins de personnes handicapées LGBT+, mais comme l'explique Shona Louise, les problèmes de capacitisme et d'accessibilité les ont - et sont - en train de les effacer.
Honorer et reconnaître notre histoire en tant que personnes LGBT+ est extrêmement important. Nous avons fait tant de chemin, et pourtant il reste encore un long chemin à parcourir. l'histoire LGBT+ nous donne l'occasion de réfléchir sur le passé tout en l'utilisant comme motivation pour nous efforcer de faire mieux à l'avenir. Mais comment honorez-vous et reconnaissez-vous votre histoire quand vous en manquez ?
- "En tant que personne handicapée queer, j'ai du mal à voir où des histoires comme la mienne s'intègrent dans notre histoire. Je sais que les personnes handicapées LGBT+ ont toujours existé, mais il serait facile de penser autrement quand nos histoires ont apparemment été effacées."
Selon Scope , il y a 14 millions de personnes handicapées au Royaume-Uni, soit environ 20 % de la population, et des recherches menées aux États-Unis suggèrent que les personnes LGBT+ sont plus susceptibles de vivre avec un handicap.
Alors comment se fait-il que je puisse compter sur une main le nombre d'icônes historiques queer et handicapées que je connais ? Des gens comme Frida Kahlo et Marsha P. Johnson me viennent à l'esprit,..
(...) Les obstacles à l'accessibilité et les attitudes de la société ont été un facteur clé dans la raison pour laquelle les personnes handicapées LGBT+ se sont souvent senties déconnectées de la communauté LGBT+, tant dans le passé que dans le présent.
Tant d'espaces LGBT + sont physiquement inaccessibles aux personnes handicapées physiques, et les clubs et bars bruyants excluent souvent les personnes autistes et celles vivant avec des conditions telles que le TDAH et des conditions sensorielles.
Par exemple, je peux penser à seulement deux espaces LGBT+ à Londres qui me sont accessibles en tant qu'utilisateur de fauteuil roulant (il est difficile de trouver des statistiques de base sur les lieux LGBT+ accessibles, un fait qui montre à quel point le handicap est mal compris). Nos espaces ont toujours été et sont toujours fondamentalement exclusifs. C'est notre manque de progrès dans ce domaine qui me préoccupe le plus. (...)
- " Je trouve de l'espoir dans les icônes LGBT + handicapées d'aujourd'hui - des gens comme Rosie Jones, qui est fière de ses deux identités et utilise l'humour pour éduquer les gens. La youtubeuse Jessica Kellgren-Fozard est également devenue bien connue pour avoir discuté des intersections du handicap et fait partie de la communauté LGBT +, soulignant où des améliorations pourraient être apportées. L'essor des médias sociaux a cédé la place à une toute nouvelle communauté d'activistes homosexuels et handicapés qui se battent pour que leurs voix soient entendues."
- "Il m'a fallu tellement de temps pour faire mon coming out en tant que jeune adulte, simplement parce que je sentais que j'avais déjà coché ma case diversité, que je ne pouvais pas avoir plus d'une identité. Un grave manque de personnes LGBQ+ handicapées reconnaissables a massivement contribué à cela : si vous ne pouvez pas vous voir au sein d'une communauté, il n'est pas surprenant que vous commenciez à penser que de telles personnes n'existent pas."
- "J'aimerais voir un espace dans le Mois de l'histoire LGBT+ pour honorer et reconnaître les personnes handicapées. Si nous pouvons commencer à voir où nous nous sommes trompés dans le passé, alors nous pourrions avoir une meilleure chance de rectifier ces erreurs pour l'avenir. Nous devons rendre plus facile et plus accessible pour les personnes handicapées de s'impliquer dans les espaces queer sans crainte de jugement ou de discrimination. Nous avons besoin de plus d'espaces pour personnes handicapées LGBT+ afin que les intersections de nos identités puissent être célébrées, et que personne ne se sente jamais seul" ... " Il est temps que toute notre communauté prenne la responsabilité de changer cela.""
Source pinknews.co.uk 07/02/2022 ►Suite de l'article...
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Source pinknews.co.uk 07/02/2022
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GOUD SAINTE VALENTINE !
"Je t'aime pour toutes les femmes que je n'ai pas connues
Je t'aime pour tous les temps où je n'ai pas vécu
Pour l'odeur du grand large et l'odeur du pain chaud
Pour la neige qui fond pour les premières fleurs
Pour les animaux purs que l'homme n'effraie pas
Je t'aime pour aimer
Je t'aime pour toutes les femmes que je n'aime pas
Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu
Sans toi je ne vois rien qu'une étendue déserte
Entre autrefois et aujourd'hui
Il y a eu toutes ces morts que j'ai franchies sur de la paille
Je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir
Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie
Comme on oublie
Je t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne
Pour la santé
Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion
Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas
Tu crois être le doute et tu n'es que raison
Tu es le grand soleil qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi."
(Je t'aime, Paul Éluard (1895-1952)
OLD TDT SAINTE VALENTINE...►Suite de l'article...
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TRANSITION DE QUOI ?
Lesbians United se lance aux États-Unis avec une campagne sur les réseaux sociaux contre la transition des enfants
Lesbians United, une organisation exclusivement lesbienne et entièrement bénévole, a été lancée aujourd'hui (1er février) aux États-Unis avec une campagne d'information publique intitulée "Comprendre la transition de l'enfant"....
La campagne, qui se déroule actuellement sur les réseaux sociaux et sur le site Web de l'organisation, vise l'establishment médical américain, qui, selon Lesbians United, pousse les jeunes lesbiennes sur la voie de la médicalisation à vie.
- «Les lesbiennes sont poussées vers la 'transition' », lit-on sur le site Web de l'organisation, « c'est-à-dire, pour subir des procédures médicales inutiles afin de ressembler à des hommes. Ces procédures sont douloureuses, irréversibles et incroyablement dangereuses. Ils peuvent entraîner et entraînent la mort.
Les publications de Lesbians United sur les réseaux sociaux sont accompagnées de graphismes colorés, avec des slogans directs tels que «La dysphorie de genre est une arnaque» et «Rejoignez le mouvement contre les fautes professionnelles médicales». Leurs cibles comprennent les sociétés pharmaceutiques, les cliniques de genre et l'American Psychiatric Association.
Lesbians United est une organisation nouvellement lancée basée aux États-Unis. Leur mission, comme indiqué sur le site Web de l'organisation, est de « défendre la santé et le bien-être des lesbiennes » par le biais de campagnes d'information publiques telles que Understanding Child Transition, et de combattre les «récits populaires de« queerness »qui séparent les lesbiennes».
Le message central de la campagne est en effet facile à comprendre : le transgenre est une menace existentielle pour les jeunes lesbiennes.
Comme le souligne Lesbians United sur son site Internet, les critères diagnostiques de la « dysphorie de genre » ciblent spécifiquement les jeunes lesbiennes pour la médicalisation.
(...) "Les jeunes lesbiennes sont très susceptibles d'être des garçons manqués", a déclaré C., développeur Web pour Lesbians United. "Lorsque l'establishment médical cible les garçons manqués, il cible en fait les lesbiennes."
Et les lesbiennes ciblées pour l'expérimentation médicale courent un risque accru de problèmes de santé et de décès prématuré. Selon la direction de Lesbians United, des preuves scientifiques montrent que les agonistes de la GnRH (la classe de médicaments désormais vendus comme "bloquants de la puberté") augmentent le risque d'ostéoporose précoce, d'insuffisance cardiaque ou rénale, de douleur chronique, de dépression et de baisse du QI chez les filles.
La testostérone artificielle, la prochaine étape dans le processus de transformation d'une fille en bonne santé en un faux garçon, peut entraîner un diabète de type 2, des infections chroniques et des problèmes de santé mentale, et exposer les filles et les femmes à un risque plus élevé de crise cardiaque.
Les conditions médicales qui en résultent peuvent être à la fois mortelles et incroyablement coûteuses à gérer.
- «Chaque fois qu'un thérapeute ou un médecin rebaptise une jeune lesbienne en« garçon trans », a déclaré T.,« la communauté lesbienne devient plus petite, plus malade et plus économiquement défavorisée.
"La cupidité des entreprises est définitivement en jeu ici", a ajouté P., chercheur à Lesbians United. « Lorsque les médecins détruisent les ovaires d'une fille avec des bloqueurs d'hormones ou les enlèvent chirurgicalement, cette fille devient dépendante des hormones artificielles à vie. Elle paiera Big Pharma pour toujours. Il n'y pas de retour en arriere."
(...) - "Nous espérons que ce sera un sujet de conversation", a déclaré T. "Les femmes et les homosexuels qui critiquent le transgenre sont réduits au silence et ignorés aux États-Unis. Lesbians United s'efforce d'inverser la tendance."... Maintenant plus que jamais, les lesbiennes et nos alliées doivent défendre la vérité. »
Source lesbianandgaynews.com 02/02/2022 ►Suite de l'article...
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Source lesbianandgaynews.com 02/02/2022
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Femme et Lesbienne = Double peine !
USA - Les couples de lesbiennes gagnent moins que les couples hétérosexuels bien qu’ELLES vivent plus dans les villes et soient plus susceptibles d’avoir deux revenus.
Une analyse récente des données du recensement américain par la Brookings Institution a révélé que les couples de lesbiennes gagnent le revenu familial médian le plus bas par rapport aux couples de sexe opposé et aux couples d’hommes gais...
Cela était vrai malgré le fait que les couples de lesbiennes étaient plus susceptibles que les couples hétérosexuels d’avoir des traits qui conduisent généralement à des revenus plus élevés, y compris avoir deux revenus, vivre dans des zones densément peuplées et atteindre l’éducation supérieure.
Inversement, les couples gais de sexe masculin gagnent le plus par rapport aux couples lesbiens et hétérosexuels. Le rapport a révélé que le revenu familial moyen des hommes mariés gais est 31% plus élevé que celui des couples de lesbiennes mariés et 27% plus élevé que celui des couples hétérosexuels mariés.
Pour les couples non mariés, les pourcentages sont encore plus élevés. Les hommes gais gagnent 36% de plus que les couples de lesbiennes non mariés et 38% de plus que les couples hétérosexuels non mariés.
Dans son analyse, la Brookings Institution a utilisé les données recueillies à partir de l’American Community Survey du Census Bureau, dont les résultats ont été publiés en septembre 2020.
L’étude indique que c’est la première fois qu’il existe des données nationales disponibles sur les couples de même sexe depuis la décision de la Cour suprême dans l’affaire U.S.-vs- Windsor, qui a conclu qu’une clause de la Loi sur la défense du mariage interdisant la reconnaissance fédérale des mariages homosexuels célébrés par les États était inconstitutionnelle.
(...)Bien que cela soit vrai lorsque tous les couples de même sexe sont regroupés, diviser les couples en hommes et en femmes raconte clairement une histoire différente.
Source lgbtqnation.com 04/02/2022 ►Suite de l'article...
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Source lgbtqnation.com 04/02/2022
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PARTICIPATIONS & DONS
