du 15 au 26 Novembre 2024 à Paris...
Quand les lesbiennes se font du cinéma
COUPEZ !
Comment rompre au féminin... Sans sortir des clichés, vous avez rencontré une autre femme plus drôle et plus attirante ? Votre compagne a perdu tout intérêt ? Et vous ne pouvez pas décider comment écrire le mot "FIN"...
Je ne vous dis même pas de le faire "en personne" parce que ma génération émotionnellement infirme a considéré les «situations embarrassantes» comme le fardeau stupéfiant de notre époque.
Donc les textos, bien que merveilleux et appropriés pour 98% des interactions, sont trop flagrants pour le rejet personnel. Le courrier électronique est impersonnel et vaguement prétentieux. Facebook est collant. Snapchat est monstrueux. Les appels vous donnent la possibilité d'exprimer de la compassion à distance. Vous êtes prévenante, mais hors de portée et aveugle à ses larmes.
Soyez cependant douce mais ferme. Avez-vous déjà été virée? Vous le serez. Je ne vais pas vous dire de considérer les ruptures comme une opportunité de croissance, ou même d'honnêteté... et pourtant.
Vous avez une tâche hideuse : enlever quelqu'un de votre vie. Votre conversation doit considérer cette relation du point A (vous êtes ensemble) au point B (vous êtes éloignées, pour toujours). Comment pouvez-vous faire ce saut avec des mots? Et qu'y a t-il de plus exaspérant que d'écouter quelqu'une se promener sur des sentiments moribonds.
Pour cela votre discours de rupture devrait durer moins de quatre minutes. Un peu de planification et une structure claire rendront la séparation beaucoup moins désordonnée. RAISON, CONSOLATION, SORTIE.
Enfin, vous êtes libre, de son étreinte humide, de ses théories conspirationnistes idiotes et de ses SMS incessants. Libre simplement de profiter de la compagnie de la personne que vous aimez le mieux: c-à-d. : Vous-même.
Ce n'est pas le moment d'explorer vos sentiments à haute voix. Ne lui demandez pas de «s'il vous plaît de comprendre». Une demande de compréhension donne l'illusion que vous avez besoin de sa compréhension. Une tentative de compréhension est un symptôme d'apitoiement sur soi.
Méfiez-vous de la pitié..La pitié est comme un antidouleur: si vous ne savez pas comment l'utiliser, vous feriez mieux de ne pas toucher à la substance. La pitié ne fait que se sentir bien au début. Mais elle rend accro et s'use avec le temps. Aussi étrange que cela puisse paraître, l'indifférence est moins douloureuse que la pitié."
Elle va réagir. C'est ce que les gens font. Je sais que vous avez fait valoir vos arguments et que vous voulez mourir, mais prenez quelques minutes pour que la fille exprime sa retraite avec dignité. Cinq minutes devraient suffire.
Vous saurez qu'il est temps de faire ses adieux quand elle commence à analyser comment vous êtes au lit et aussi dans la vie.
C'est fini. Vous avez mis fin à la relation. C'est peut-être la règle la plus importante de la rupture et certainement la règle la plus ignorée de la rupture.Peut-être que vous deux pourrez être amies un jour, mais ce jour est loin d'ici.
Alternativement, vous devez répondre poliment, mais brièvement. Surtout si elle a encore vos affaires (ou vice versa), il est de votre responsabilité d'organiser un échange rapide et pratique. Vous avez le droit de vous sentir désolée pour elle mais vous pas autorisé à donner de faux espoirs.
Vous êtes libre également de recommencer avec la prochaine sans prendre le temps d'une sérieuse introspection.
Source afterellen.com - (Par Chloë /2016) - Librement adapté par TDT. L'article complet.
RAPPEL du "Petit Manuel LESBIEN anti-Langue-de-Bois"
"Les filles, -"...apprenez par cœur ces « versets bénéfiques », et essayez de vous en souvenir chaque fois que vous tombez amoureuse ! (c’est un conseil )
| Quand Elle dit... | Elle veut vraiment dire : |
| - J’ai besoin d’espace - Je veux une relation « open » - J’ai besoin de me trouver - C’est pas toi… c’est moi… - Tout arrive trop vite - Prenons le temps - J’ai des problème d’intimité - Je ne sais pas ce que tu veux de moi - On devrait voir d’autres gens... - Tu me rappelles mon ex. - Ne t’inquiète pas, c’est juste une amie... - Je ne veux pas prendre le risque de perdre ton amitié - J'ai à te parler - Je n’ai pas encore complètement oublié mon ex - T’es tellement gentille... - Je ne donne pas dans le drame - |
- Entre les jambes d’une autre fille - Je veux coucher avec quelqu’un d’autre, mais toi t’as pas trop d’intérêt… - En espérant que ce soit chez ta meilleure copine - C’est moi qui suis super saoulée et qui ai besoin d’air... - Ne t’attache pas trop à moi, parce que cette histoire est foireuse - Comme ça, j’aurai celui de trouver quelqu’une avec qui j’ai vraiment envie - Tu me dégoûtes - Je sais, mais tu ne l’auras pas - En tout cas plus nous deux - C’est bien pour ça que c’est mon ex. - Pour le moment ! - Je ne suis pas le moins du monde attirée par toi - de la fille avec qui je pars. - Je n’ai pas pensé à elle depuis des mois, mais je ne sais pas quoi dire d’autre - Je me fais tellement chier... - Je suis la plus grande « drame-queen » du monde ! |
(sur OLD TDT/Humour Lesbien)
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Lesbi-Santé
L'équipe, dirigée par Heather L. Corliss, chercheuse du SDSU, a constaté que les femmes lesbiennes et bisexuelles participant à une étude longitudinale majeure présentaient une incidence plus élevée de diabète de type 2 que les participantes hétérosexuelles, et un IMC plus élevé expliquait cette association.
Les femmes lesbiennes et bisexuelles plus susceptibles de développer un diabète en raison du stress.
Pour l'étude, l'équipe a analysé les résultats d'enquêtes datant de 1989 de femmes participant à l'Étude sur la santé des infirmières II, qui est l'une des plus grandes enquêtes sur les facteurs de risque de maladies chroniques majeures chez les femmes.
Au début de l'étude, toutes les femmes avaient entre 24 et 44 ans et ont été évaluées pour un diagnostic de diabète de type 2 tous les deux ans afin d'identifier l'incidence, de 1989 à 2013. Les femmes ont identifié leur orientation sexuelle et les participants , 1 267 identifiées comme lesbiennes ou bisexuelles et 92 983 identifiées comme hétérosexuelles. Le diabète a été évalué par un diagnostic clinicien autodéclaré.
Corliss et ses collègues ont découvert au cours de cette période de 24 ans que les femmes lesbiennes et bisexuelles avaient un risque plus élevé de 27% de développer un diabète de type 2 que les femmes hétérosexuelles. En 2013, 6 399 femmes avaient développé un diabète de type 2, les femmes lesbiennes et bisexuelles ayant 22% plus de risque de développer un diabète de type 2.
L'équipe a également constaté que les femmes lesbiennes et bisexuelles développaient le diabète de type 2 à un âge plus précoce que les femmes hétérosexuelles, et qu'un indice de masse corporelle plus élevé chez les femmes lesbiennes et bisexuelles contribuait grandement aux disparités constatées.
(...) Le stress est une considération importante, ici. L'équipe a noté que le stress lié à la discrimination, à la violence et à la détresse psychologique était plus élevé chez les femmes lesbiennes et bisexuelles, et ces facteurs peuvent contribuer à des taux plus élevés de problèmes de santé chez ces femmes.
L'équipe demande également une recherche élargie sur les différences liées à l'orientation sexuelle dans la gestion des maladies et sur la santé globale des femmes lesbiennes et bisexuelles.
Une telle amélioration des connaissances est "essentielle pour comprendre les implications de la maladie sur leurs risques pour la santé et le pronostic", a expliqué l'équipe.
Source eurekalert.org 10/03/2018 - Article complet en VO.
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LES LESBIENNES, GRANDES OUBLIÉES DE LA PRÉVENTION SEXUELLE !
POUR LES MÉDECINS, C’EST L’ÉCOLE DE LA DÉBROUILLE :
Difficile, pour les lesbiennes, de trouver les informations médicales dont elles ont besoin. Les médecins qu’elles consultent sont souvent peu informés sur leur santé sexuelle, ou remplis de préjugés... "
Source SOS Homophobie 02/03/2018 - Article complet
LESBI-SANTÉ
On ne devrait plus parler de “bouton de fièvre”, car cela laisse à penser qu’il survient seulement lorsqu’on est fatigué. Et du coup on ne s’en méfie pas, déplore le Dr Jean-Marc Bohbot, infectiologue et directeur médical de l’Institut Alfred-Fournier à Paris.
Il s’agit en fait d’herpès labial lié à un virus très contagieux (HSV1), souvent transmis dès l’enfance dans les cours de récréation. »
Résultat : 65 % d’entre nous sommes porteurs du virus.
Il peut rester latent sans se manifester ou déclencher une éruption autour de la bouche et du nez dans de nombreuses circonstances : fatigue, stress , fièvre, règles, mais aussi froid, soleil, contrariétés..."
Source topsante.com 01/08/2017 -Article complet en VO.
AUTRE ARTICLE : COMMENT LES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES SE PROPAGENT-ELLES CHEZ LES LESBIENNES?
"Les lesbiennes courent le même risque pour de nombreuses MST que les femmes hétérosexuelles sont à risque. Les maladies peuvent se propager de différentes façons, notamment: contacts muqueuses, contact peau à peau, sang menstruel, échange de fluides vaginaux, partage de jouets sexuels
Les MTS sont l'un des problèmes de santé les plus importants chez les lesbiennes parce que beaucoup croient faussement qu'elles ne sont pas à risque... "
Source athomestdtests.com 2018 -Article complet en VO.
RAPPEL: Mesdames, Pensez à passer chez votre Gynéco préférée et vos examens réguliers : Mammographies, Examens, Frottis... indispensables pour une bonne prévention santé!
Notre ancienne rubrique-"LESBI-SANTÉ"
Prenez soin de vous !
Les femmes qui ont des rapports sexuels avec des femmes pensent ne pas avoir besoin de test de dépistage du cancer (col de l'utérus, seins...)
En conséquence, la moitié de toutes les lesbiennes et femmes bisexuelles admissibles n'ont jamais eu de test de frottis pour le virus du papillome humain (VPH).
Près de 1 000 femmes meurent du cancer du col de l'utérus chaque année.
Ces informations proviennent de la toute première "Semaine nationale de la santé des femmes lesbiennes et bisexuelles", créé par le National LGB & T Partnership.
(...) L'organisation a déclaré que "comme le VPH peut être transmis par le contact peau à peau dans la région génitale, les femmes gays ont également le risque de contracter le VPH et, par conséquent, devrait toujours effectuer un dépistage cervical. (...)
Source pinknews.co.uk 13/03/2017 -Article complet en VO.
Notre rubrique-"Santé Lesbienne"
Notre ancienne rubrique-"LESBI-SANTÉ"
NOTE de TASSE DE THÉ : "Il faudrait par la même occasion briefer correctement les médecins généralistes aux problèmes G & L !
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PARTICIPATIONS & DONS
