
MIGRAINE
Homosexuels et bisexuels sont davantage exposés aux problèmes de santé mentale, physique, tabagisme et de consommation excessive d'alcool que les hétérosexuels, selon une étude américaine publiée lundi, expliquant ce constat par le stress lié à la discrimination dont ces communautés sont victimes.
L'enquête publiée dans la revue médicale américaine JAMA Internal Medicine et conduite au niveau national en 2013 et 2014 aux Etats-Unis a comparé l'état de santé, les taux de tabagisme et la consommation d'alcool de 525 lesbiennes, 624 homosexuels et 515 bisexuels à 67.150 hétérosexuels.
"Notre étude indique que la communauté des lesbiennes, gays et bisexuels connaît d'importantes disparités en matière de santé, surtout mentale et également en termes de consommation d'alcool ou de tabagisme", relèvent les auteurs. Selon eux, "ces disparités s'expliquent probablement par le stress résultant de la marginalisation et de la discrimination que subit la communauté homosexuelle et bisexuelle en raison de sa préférence sexuelle".
(...) Dans le détail, 21,9% des femmes hétérosexuelles présentent des symptômes modérés et sévères de problèmes psychologiques, contre 28,4% pour les lesbiennes et 46,4% pour les femmes bisexuelles. Ces dernières étaient les plus fortes consommatrices d'alcool avec 11,7% de ce groupe contre 8,9% pour les lesbiennes et 4,8% parmi les hétérosexuelles. Plus de 25% des lesbiennes et bisexuelles étaient fumeuses contre seulement 14,7% des hétérosexuelles.
Les lesbiennes étaient par ailleurs plus souvent en mauvais état de santé que les femmes hétérosexuelles tandis que les bisexuelles souffraient plus fréquemment de multiples maladies chroniques que les hétérosexuelles. Au total le groupe représentatif de 68.814 personnes comptait 51% de femmes et l'âge moyen était proche de 47 ans.
E-llico.com 28/06/2016 -Article complet.
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Spéculum?
Le problème naît souvent au moment de la formation des gynécologues....
Plusieurs femmes ont témoigné de la façon parfois choquante dont elles ont été traitées par un.e gynécologue. Et si la raison de ces difficultés résidait dans la formation de ces professionnel.le.s de santé?
Pour le médecin généraliste Marc Zaffran (écrivain sous le pseudonyme de Martin Winckler), les écoles de médecine françaises enseignent aux étudiant.e.s que "les femmes sont faites pour avoir des enfants mais elles ne savent pas ce qu’elles veulent". Ces futur.e.s professionnel.le.s se croiraient donc en droit de faire des choix à la place de leurs patient.e.s.
-"D’après cette perception, une femme lesbienne et une personne transgenre ne sont pas de vraies femmes, écrit le médecin, puisqu’il leur manque des organes sexuels voués à la reproduction féminine et/ou un homme pour les engrosser. Ces prémisses ne sont pas seulement sexistes, ils sont aussi, comme on le disait autrefois, bourgeois: le discours médical renforce et avalise nombre de préjugés sociaux – ici, homophobie et transphobie."
Pour sortir de cette ornière, Marc Zaffran/Martin Winckler préconise de cesser d’enfermer les patient.e.s dans «des schémas pré-établis» et veut favoriser «une formation privilégiant la réflexion, la nuance, l’humilité, le respect de l’autre, le désir de bien faire sans faire mal et un apprentissage de l’écoute». Une analyse à lire sur École des soignants."
Source yagg.com 02/12/2014 Article complet
Tasse de Thé DOSSIER Prévention
Infos doc en ligne"Ma première consultation gynécologique"

Capitaine Sourire
Plaisir de retrouver Amélie Mauresmo, consultante chez France Télévisions pour le Tournoi de Roland Garros, du 25 mai au 8 juin 2014. Elle commente le Tournoi du 25 mai au 8 juin 2014...
Depuis qu'elle a mis fin à sa carrière, Amélie Mauresmo a déjà travaillé pour la chaîne de service public en mai 2010. Elle a également couvert l'US Open début septembre la même année et a animé une émission lors de l'Open d'Australie en 2011, cette fois pour Eurosport. (Source Lexpress.fr/actualite)
"Et Amélie Mauresmo à la soirée Sport & Philanthropie au Club des Loges à Paris, le 28 mai : Alors que Roland-Garros bat son plein, attirant les célébrités dans ses tribunes comme le Festival de Cannes avait pu le faire quelques jours plutôt avec sa célèbre montée des marches, la soirée Sport & Philanthropie a profité de l'événement pour réunir un casting de rêve..."
Source purepeaople.com 30/05/2014 Suite article complet - Le Blog d'Amélie

Santé gynéco Lesbienne 2
Il est extrêmement important de faire votre bilan gynécologique en tant que femme lesbienne. Les statistiques prouvent l'augmentation des risques de la non prévention !
Comparativement aux femmes hétérosexuelles, les lesbiennes semblent moins susceptibles de passer les examens médicaux de routine (frottis de dépistage et mammographie), permettant d'identifier ce qui doit l'être à un stade précoce pour le traiter à temps , à savoir : le cancer du col de l'utérus et le cancer du sein entre autres. Et c'est un vrai problème d'alerte de santé !
Exemple de témoignage concernant le cas d'une jeune lesbienne black(...) - "La plupart des médecins font un mauvais diagnostique de toute douleur pelvienne, problèmes abdominaux, intestinaux ou digestifs. Il pourrait s'agir d'une MST/IST (maladie/infection sexuellement transmissible), une infection, des kystes, de fibromes ou d'endométriose. Le pire scénario est les stades précoces de cancer du col et / ou le cancer de l'ovaire.
J'ai vécu des années de douleur quand j'étais plus jeune, pensant que mon cycle menstruel est en train de changer et que mes crampes n'ont simplement fait qu'empirer quand j'ai grandi. Je me trompais. J'ai eu des kystes ovariens bilatéraux de la taille d'un pamplemousse. J'ai également eu des fibromes. Ainsi, non seulement j'étais dans la douleur de mes kystes, mais j'ai eu aussi des dommages au foie avec les énormes doses quotidiennes d'analgésiques. Heureusement, j'ai eu un second avis médical et j'ai pu diagnostiquer le problème avant qu'il ne devienne pire.
Je dois dire par ailleurs, que nous sommes souvent préoccupées par des choses triviales, principalement superficielles ou cosmétique, qui concerne notre sexe. Nous prenons une douche ou achetons des produits d'hygiène féminine. Nous pensons que si "elle" sent bon, c'est signe de bonne santé. Mais votre santé vaginale est très importante pour votre santé tout court. Voici quelques points à retenir à ce sujet.
- Contrairement à la croyance populaire, les changements dans les odeurs vaginales ne sont pas nécessairement aussi simples que de prendre une douche. Cela pourrait effectivement être le signe d'une affection plus grave.
- Vous devez planifier votre examen 10 jours après votre cycle menstruel.
- Vous ne devriez pas utiliser la douchette ou utiliser un savon parfumé ou lavage vaginal. Si ce sont des produits que vous utilisez tous les jours, alors assurez-vous de mettre fin à leur utilisation jusqu'à trois jours avant votre visite.
- Ne pas avoir des rapports sexuels dans les 24 heures de votre visite.
- Gardez une trace de votre dernier cycle menstruel, parce que votre médecin vous demandera la date.
- Si vous ressentez des douleurs lors de votre examen, demandez à votre médecin d'utiliser un spéculum taille des enfants. Il est plus petit et plus confortable. Ils doivent toujours avoir un à portée de main.
- Votre médecin examinera votre région pelvienne, ce qui inclut votre vulve, du col, (prélèvement)les ovaires, les trompes de Fallope, l'utérus et le vagin.
- Il est particulièrement important pour les femmes de couleur à être examinés régulièrement pour surveiller les kystes et fibromes.
- Au cours de l'examen de votre médecin va chercher des signes d'infection et d'autres conditions, y compris le cancer du col utérin. Détecter les problèmes précoce peut vous aider à obtenir le traitement dont vous avez besoin pour vous garder en bonne santé, à temps.
- Même si vous avez eu une hystérectomie totale ou partielle, vous devez continuer avec les examens. Il est toujours important de vérifier les cellules du cancer du col. Notez que beaucoup dans le domaine de la santé croient que les examens gynécologiques réguliers ne sont plus nécessaires après une hystérectomie. Personnellement, je suis en désaccord. Je préfère prévenir que guérir.
- Vous pouvez également demander à votre gynécologue de vous tester pour MST telles que la gonorrhée, la chlamydia, l'herpès, le VIH et l'hépatite. La plupart du temps il n'y a pas de symptômes du cancer du col utérin, qui est pourquoi il est si important d'être vérifiée régulièrement.
- Votre médecin effectuera également un examen des seins. (Mammographies à faire tous les deux ans) Assurez-vous de bien mentionner à votre médecin les problèmes que vous ressentez...
Restez en bonne santé, et prenez soin de vous, Sistas !
Source huffingtonpost 20/09/2013 Article complet en VO.
Voir Kultur Saphik Santé lesbienne 1

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