Bingo !
PHOTO : Marie C. (à dr.) et Brenda B. (à g.)
-"Tomber amoureuse à soixante-dix ans" dit Marie comme à tout autre âge... Cela commence par une attraction passionnée et un désir d'intimité ".
Marie C., une Juge à la Cour Supérieure pendant 15 ans, a vu et étudié les comportements humains de toutes sortes. Depuis son entrée en tant que lesbienne dans la cinquantaine, elle ne s'est jamais sentie autant engagée que maintenant.
-"Ce qui est différent dans l'amour en fin de vie ? -Eh bien quand vous tombez amoureuse lorsque vous êtes plus âgée, c'est une telle bénédiction et un beau cadeau, vous pensez que cela ne se reproduira pas de si tôt. À 50 ans, je sortais d'un mariage hétérosexuel de 20 ans, et pour une grande partie, j'avais manqué d'être passionnément amoureuse... "
"Ensuite, j'ai vécu pendant six ans avec une femme, et avec elle, j'ai eu une relation très passionnée. Mais après cela terminé, j'avais plus de 65, et je me demandais encore si j'allais jamais tomber amoureuse à nouveau. "
Marie cherchait une romance avec énergie et obstination. -"J'ai passé des années à chercher activement l'amour. Je suis allée sur le terrain, j'ai essayé des rencontres en ligne, mais cela ne fonctionnait pas pour moi du tout... car pour tomber amoureuse, j'avais besoin d'avoir une attirance physique immédiate... "
Marie, qui vit en Floride, sort beaucoup -"Je vis dans une région où réside une communauté de femmes dynamiques - vous pourriez sortir dix jours par semaine si vous vouliez! Il ya beaucoup de soirées danses, et j'aime toutes sortes de danses, y compris les bals et la danse en ligne"
Lors des réunions lesbiennes, Marie n'est pas restée cachée dans un coin et elle s'est fait beaucoup d'amies, dit-elle, tout en recherchant la personne qui lui ferait battre le coeur. "Je savais dès que je rencontrais si j'étais attirée passionnément ou pas. Mais je n'ai pas rencontré beaucoup de femmes pour qui ressentir ce feeling".
Concernant le problème lié à son âge. Marie dit - "L'âge me délivre.» Ces "questions d'âge", dit-elle, lui on fait douter de sa propre attractivité.
Alors que sa recherche active avait duré un an ou deux, a raconté Marie une amie m'a suggéré de réduire ma demande de "chimie dès le départ". Elle dit que je pouvais sortir avec quelqu'un et que l'attraction se développerait peut-être. "Contre ses instincts, Marie a eu quelques RDV et essayé cette approche avec quelques femmes. «J'essayais de rencontrer quelqu'un qui était agréable et sociable. J'ai bien aimé, quelqu'un avec qui je avais beaucoup de points communs. Mais je ne ressentais rien de tout le magnétisme que je désirais. Et voilà qu'un jour, lors d'un repas-partage entre lesbiennes... j'ai rencontré Brenda ".
Source curvemag.com /001/03/2014 Suite de l'article complet en VO.
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