Un documentaire Netflix sur l'incroyable amour de deux femmes américaines ensemble depuis 65 ans !
Terry Donahue et Pat Henschel(photos) s'aiment depuis 65 ans
Une histoire courageuse, émouvante et surtout nécessaire dans ce monde audiovisuel où la communauté LGBT des personnes âgées est absolument sous-représentée.
S'aimer n'était ni légal ni facile il y a 6 décennies, alors ces lesbiennes ont traversé de nombreuses aventures et mésaventures pour arriver là où elles sont, s'aimer exactement de la même manière, voire plus, que le premier jour.
Produit par le réalisateur, scénariste et producteur Ryan Murphy, l'un des créateurs les plus engagés à montrer la réalité LGBT du moment. Ryan, qui est gay, marié et a deux enfants avec son mari, est le créateur de Glee et Pose , deux de nos joyaux LGBT dans le monde des séries.
Terry a inspiré le film "They Hit It", avec Genna Davis. Le film raconte comment la guerre et que les hommes sont allés au front ont donné aux femmes un espace pour jouer au baseball et démontrer qu'elles étaient aussi capables qu'elles étaient de rivaliser, de réussir et d'attirer le public.
Malheureusement, l'orientation sexuelle de Terry, joueuse de baseball professionnelle dans les années 60, n'était pas autorisée et Terry est restée alors "dans le placard"
Même si Terry et Pat étaient très appréciées par leur famille et leur environnement, ce n'était pas pour cette raison qu'il leur été facile de partager leur réalité.
Le film raconte comment elles se sont rencontrées, comment elles sont tombées amoureuses, comment elles sont finalement sorties du placard auprès leurs familles conservatrices et comment elles ont secrètement développé leur amour parallèlement à leur carrière professionnelle à Chicago...
Source mirales.es 27/04/2020 Suite de l'article complet en VO.
Manifeste pour le droit de choisir sans étiquette de discrimination Transphobe.
"Nous lesbiennes voulons le droit de choisir avec quels adultes consentants nous couchons sans avoir à nous justifier et avec qui nous nous réunissons pour vivre notre lesbianisme.
Il y a une différence sexe/genre. Le genre est un ensemble de caractéristiques sociales assignées à la naissance, le sexe est un ensemble de caractéristiques physiques constatées à la naissance. Il existe une petite minorité de personnes considérées intersexuées mais même pour la majorité de ces personnes, il y a peu d’ambiguïtés sexuelles constatées à la naissance. On n’assigne pas des caractéristiques physiques, on les constate.
Il existe des personnes attirées par les personnes de même genre. Et des personnes attirées par les personnes de même sexe. C’est notre cas. En raison de cela, nous souffrons d’une vague de violences interne à la communauté LGBT. Notre sexualité est dénigrée comme étant « invalidante ».
Nous ne nous opposons pas à l’existence de communauté homo-genrées parallèles aux nôtres, avec les quelles nous pourrions avoir des espaces et des luttes communes si notre altérité était respectée. Notre objectif dans la vie n’est pas de faire la guerre aux autres minorités : nous voulons juste le droit d’être différentes.
Les lesbiennes ne peuvent pas parler de leurs corps ou de leurs sexualités à elles dans les espaces inclusifs LGBT parce tout rappel de la différence des sexes invalide certaines identités. Nous devons aussi parfois écouter des gens parler de leur pénis et de leurs érections « de trans-lesbienne» ce qui est très embarrassant pour beaucoup d’entre nous.
Mais se réunir entre nous, même le temps d’une soirée, c’est « invalider » des identités. C’est ainsi que des groupuscules attaquent publiquement des figures de la communauté lesbienne pour expliquer qu’un « non » peut être transphobe, même si il doit respecter. Tout étant questionné... (1) ou que « dire non à une femme parce qu’elle a un pénis, c’est confondre identité sociale de genre et désirs/pratiques sexuelles. »(2)
C’est à dire que c’est ne pas reconnaître qu’une personne à barbe et à pénis est une femme physiquement comme nous. Comme si il était indiscutable qu’elle le soit.
Tout cela basé sur un système « d’alliées » où des femmes généralement hétérosexuelles ou bisexuelles font preuve de vertu ostentatoire en nous imposant des personnes qui veulent se faire une lesbienne et en nous expliquant que si il y a des comportements abusifs il suffit de recadrer la personne mais sans invalider son identité.
On nous explique aussi sur les réseaux sociaux et dans certains évènements LGBT que même si le consentement est important il est du devoir des lesbiennes de s’interroger sur les raisons qui les poussent à refuser certaines personnes -toujours les mêmes – dans leur sexualité (3)
Même si il faut respecter notre consentement, il faut aussi que nous nous interrogions. Si les transexuelles se sentent femmes, pourquoi presque aucune lesbienne ne veut coucher avec elles ? De plus en plus de militant.e.s GBT nous expliquent que nous lesbiennes sommes attirées par les personnes de même genre et pas de même sexe. Parce que reconnaître la réalité du sexe biologique c’est « invalidant ».
Si nous nous réunissons entre nous c’est parce que nous en avons marre que l'on nous impose ces "thérapies de conversion" (2.0). Nous en avons marre de justifier nos refus, qui plus est par des militantes de plus en plus agressives.
La communauté GBT maltraite son L via la culpabilisation permanente qualifiée de "Transphobie".
Nous sommes des femmes avant tout et nous avons un mouvement qui s’appelle le Féminisme vers qui nous trouverons des alliées !
Par L-M (La Lesbienne Masquée)
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1.►misskoala.canalblog.com (archives)
2.►iaata.info/Transphobie-et-feminisme
3.►YouTube (Vos préférence amoureuses sont-elles discriminatoires)
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HISTORIQUE: (...) "La marche annuelle de la fierté du 07/07/2018 de Londres... a été envahie par un groupe de lesbienne séparatiste anti-trans... Le groupe, organisé sous le «#GetTheLOut» (enlevez le L /de LGBT)d'environ 10 personnes proclamait l'affirmation selon laquelle «les droits des lesbiennes sont attaqués par le mouvement trans» et que les lesbiennes devraient quitter le mouvement LGBT pour former leur propre mouvement séparé. Cette croyance se fonde sur sur le fait que les personnes trans sont en quelque sorte une menace pour la vie privée et la sécurité des femmes et que leur identité n'est pas légitime - qu'elles devraient être définies en fonction de leurs organes génitaux et non de leur identité de genre. De même, le groupe soutient que les lesbiennes qui ont des relations amoureuses avec des femmes trans ne sont pas vraiment des lesbiennes...."(...) «Seules les femmes peuvent être lesbiennes. Un homme opéré ne peut jamais être lesbien. » Source fugues(ca)10/07/2018 ►Suite article complet
1. C'est tout simplement trooop long. Trois syllabes?...
Qui a le temps pour tout ça. Les mots "gay" et "bi" sont courts et doux - beaucoup plus agréables à nos oreilles.
2. De plus le mot ar-ti-cu-lé, ne déroule pas exactement la lan-gue ...
3. Je pense que "lesbienne" n'est PAS un mot sexy. En fait, cela ressemble à une maladie rare. (Celui pour lequel vous vous trouveriez probablement en thérapie de groupe. Et je parie que c'est extrêmement contagieux.)
4. Ça fait penser à hyène ?
5. Le Top : Le mot "Lesbienne" semble plus approprié à un reptile préhistorique éteint depuis longtemps.
6... ou à un type de légumineuse étrange. (Absolument délicieuses une fois cuites dans une sauce tomate. Je le recommande.).
7. Pour Ellen DeGeneres : -"Le mot lesbienne ressemblait à quelqu'un avec une sorte de maladie. Je n'aimais pas ça, alors j'ai utilisé le mot gay le plus souvent." -
8. Et autant que je sache, toutes les lesbiennes ne sont pas nées sur l'île de Lesbos ! Quelqu'une a-t-il même réfléchi à ce que les habitantes actuels pensent de tout cela? (elles sont en procès!)
9. Lesbienne évoque facilement des stéréotypes ? (héhé)
10. En conclusion, une grande chose au sujet des mots : Nous n'avons pas besoin d'utiliser ceux que nous n'aimons pas !
Source Sarah Karlan 18/12/2013 (en VO.) ►Librement inspiré par TDT
Voici une recette végétariene facile :
"Curry de légumes au lait de coco, au riz Basmati"
Ingrédients :
200 g de riz basmati Casino
1 patate douce
3 carottes, ½ poivron rouge
200 g de brocolis sans résidus de pesticides Casino
2 briques de lait de coco Casino Saveurs d’Ailleurs
2 cuillères à soupe de curry
2 citrons verts
¼ de botte de coriandre fraîche
1 gousse d’ail, Sel
Une quantité suffisante d’huile de tournesol
Préparation : "Pelez la patate douce, les carottes et la gousse d’ail. Détaillez la patate douce en cubes pas trop gros et les carottes en rondelles. Émincez finement l’ail.
Découpez le poivron rouge en lamelles. Coupez les brocolis en deux ou en quatre selon leur grosseur.
Faites chauffer une sauteuse avec un peu d’huile. Faites revenir l’ail quelques instants avec le curry. Ajoutez les légumes et laissez suer 5 minutes. Versez le lait de coco, salez. Couvrez et laissez cuire pendant 25 à 30 minutes, les légumes doivent être tendres. En cours de cuisson, ajoutez 20 cl d’eau si la sauce devient trop épaisse.
Pendant ce temps faites cuire le riz dans une grande casserole d’eau bouillante salée. Égouttez et réservez au chaud.
Répartissez le curry dans des bols avec le riz. Ajoutez un peu de jus de citron vert selon le goût. Parsemez de feuilles et coriandre et servez bien chaud.
Recette proposée par Sophie /Cuisine : sur geantcasino.fr
Notre ancienne rubrique CUISINE GOUDOUXE
À l'automne, les potimarons s'invitent à votre table avec leur chair de velours et leurs couleurs chaudes.
Les ingrédients (pour 2 personnes)
1/2 potimarron
2 c. à soupe d’huile d’olive
1 petit oignon, 1 gousse d’ail
1 cm de racine de gingembre
1 l de bouillon de légumes
10 cl de crème de coco
Sel et poivre
1 pincée de piment doux
Quelques brins de persil plat ou de coriandre
Préparation (15 min)
Coupez la chair du potimarron en dés.Dans un faitout avec l’huile, faites revenir l’oignon émincé et l’ail haché. Ajoutez le gingembre pelé et râpé. Mélangez et cuisez 2 min. Ajoutez le potimarron et le bouillon.
Portez à ébullition, puis faites cuire à découvert 20-25 min.
À l’aide d’une écumoire, transférez les légumes dans le bol d’un robot et mixez en ajustant la quantité de bouillon pour obtenir un velouté. Ajoutez une touche de crème de coco.
Salez et poivrez. Ajoutez le reste de crème de coco sans la mélanger et saupoudrez de piment doux et de persil ciselé.
Conseil+: Ajoutez 2 c. à soupe de curry en poudre pour parfumer le velouté façon indienne.
Source notretemps.com 11/10/2019 Voir le site
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