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Élodie FONT - "À nos désirs"
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Tasse de Thé a sélectionné pour vous !
Sortie du livre d'Élodie FONT "À nos désirs", dans l'intimité des Lesbiennes"...
 
RUGBY FÉMININ - Tournoi des Six Nations
rugby-lesbleues_0.jpgTasse de Thé ❤️ les Sportives !
Écosse - France ce samedi 30 mars à 15h15 sur France 2..
L'actrice Rebel Wilson a eu sa première relation sexuelle à 35 ans
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POTINS LESBIENS
La star hollywoodienne Rebel Wilson (photo à gauche)se révèle tardivement et dit vouloir encourager les autres à travers sa révélation très privée...
Fulanita Fest : le plus grand festival lesbien d'Europe
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FULANITA FEST 23 - 26 Mai
ESPAGNE -Si vous avez déjà rêvé d’une ville où vivent uniquement des femmes lesbiennes et bisexuelles, -
BAGDAM ❤️de TOULOUSE
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25e Printemps lesbien de Toulouse
 du 4 au 28 avril 2024 -
Famille homoparentale : Parent biologique, parent adoptant… ?
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DROITS HOMOPARENTS
Qui est considéré comme étant le "parent légal" de l’enfant ? La reconnaissance conjointe d’un enfant par un couple de femmes...

LezPresse

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   UN MUSÉE LGBT... ICI LONDRES !

  GRANDE BRETAGNE -Célébrer l’histoire et la culture queer et les faire connaître à «tout le monde» : le premier musée national LGBTQ+ au Royaume-Uni a été inauguré cette semaine à Londres.

   Installé dans un bâtiment en briques du XIXe siècle à Granary square, dans le nord de Londres, Queer Britain vient d’ouvrir ses portes après quatre ans de préparation. Il a été entièrement financé par des dons privés.
      Avant une grande exposition prévue cet été qui devrait mêler photographies, oeuvres d’arts et costumes, les visiteurs peuvent déjà découvrir des photographies explorant l’histoire et la diversité de la communauté LGBTQ+ britannique, de travesties à l’époque victorienne aux Gay Prides des dernières années.
   Des pionniers sont mis à l’honneur comme Roberta Cowell, pilote de course et première femme trans britannique connue à avoir eu recours à une opération de réassignation sexuelle ou Justin Fashanu, premier footballeur à assumer publiquement son homosexualité, en 1990. Il s’est suicidé par pendaison huit ans plus tard.

   Ce musée «est un lieu permanent pour que nous puissions célébrer qui nous sommes, les contributions incroyables que nous avons faites à l’histoire, et pour éduquer la nation afin qu’elle connaisse également ces contributions», explique Stephanie Stevens, l’une des responsables du musée, expliquant que les personnes queer ne veulent plus «se contenter des miettes». Côté public, «nous voulons toucher tout le monde», quelle que soit leur identité de genre ou leur sexualité, assure cette militante transgenre.

   Le musée est gratuit et situé dans un quartier assez fréquenté, juste derrière la gare de Saint-Pancras. «Nous voulons toucher tous les gens qui ont l’impression que leur voix n’a pas été entendue. Et puis nous voulons atteindre les gens qui n’ont jamais entendu ces voix», décrit-elle.
(...) Une autre partie de l’exposition est consacrée aux «familles choisies» ou d’appartenance, représentant des personnes homosexuelles dans les communautés qu’elles se sont construites. Ce musée, c’est «quelque chose dont nous avions besoin depuis de nombreuses années dans notre pays», estime un autre visiteur, Richard Halstead, 59 ans, espérant que cela apporte de la «visibilité» à la communauté LGBTQ+.

   Au fil de l’exposition, des photographies rappellent le chemin parcouru, par exemple sur l’acceptation des élus homosexuels. En 1977, le Parti travailliste avait refusé d’investir Maureen Colquhoun, première députée travailliste ouvertement lesbienne. La décision avait été annulée un an plus tard par l’instance dirigeante du parti, qui avait jugé que cela lui avait été refusé en raison de sa sexualité.

   Plusieurs décennies plus tard Ruth Davidson, femme politique à l’homosexualité assumée, fut une très populaire cheffe des conservateurs écossais jusqu’à son départ en 2019. Quant au député conservateur Jamie Wallis, qui a révélé en mars être trans, une première, il a reçu des messages de soutien de tous bords politiques, y compris du Premier ministre Boris Johnson.

   Depuis 1967, l’homosexualité n’est plus un délit en Angleterre et au pays de Galles. Le mariage entre personnes du même sexe est autorisé depuis 2014 en Angleterre, Écosse et Pays de Galles mais seulement depuis 2020 en Irlande du Nord ou les unionistes ultra-conservateurs au pouvoir y étaient farouchement opposés.

   Toutefois, des combats persistent pour la communauté LGBTQ+ qui est montée au créneau le mois dernier lorsque le gouvernement britannique a voulu renoncer à interdire les thérapies de conversion qui prétendent modifier l’orientation sexuelle.
   Stephanie Stevens souligne que «dans le climat actuel, il est vraiment important de se rappeler qu’il se passe des choses dans le monde qui ne sont pas à la hauteur et sur lesquelles il faut absolument travailler».
Source fugues.com/ 05/08/2022 ►Suite de l'article...
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Source fugues.com/ 05/08/2022

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ONU-RosannaFlamerCaldera_1.jpg  LESBIENNE LÉGALE !

   ETATS-UNIS  Rosanna Flamer-Caldera (photo dr), la lesbienne qui a proposé que l'ONU révise la loi lesbophobe. !

   On pourrait penser que ce titre relève du bon sens. Néanmoins, en mars 2022, un comité des Nations Unies a reconnu que la criminalisation des activités homosexuelles féminines est une violation des droits humains.
   La décision historique a été prise par le premier organe de droit international à déclarer que les lois sexuelles anti-lesbiennes sont anti-droits humains.
   Que signifie la décision ? Eh bien, tous les pays qui criminalisent les relations sexuelles entre femmes sont invités à abroger immédiatement leurs lois lesbophobes.

   Actuellement, 71 pays criminalisent les comportements homosexuels. 43 pays précisent que le sexe lesbien est un crime. C'est essentiellement un quart des pays du monde. La majorité de ces pays sont membres du Commonwealth, ce qui signifie que leurs lois homophobes ont été largement introduites par l'Empire britannique.

   Alors que la Grande-Bretagne ne criminalisait que l'activité homosexuelle masculine, certains pays ont inclus l'activité sexuelle lesbienne dans les lois anti-homosexuelles de l'histoire récente. 10 juridictions qui ne criminalisaient auparavant que les comportements homosexuels masculins ont inclus des sanctions contre les femmes lesbiennes et bisexuelles au cours des 35 dernières années.
   Malgré l'alarmisme selon lequel nous retirons les droits des hétérosexuels, la lesbophobie est en hausse dans une grande partie du monde. Il y a quelques années, deux Malaisiennes ont été cannées six fois pour avoir tenté de coucher ensemble. Peu de temps après, une militante lesbienne iranienne a été arrêtée alors qu'elle tentait de demander l'asile en Turquie.

   L'affaire pour mettre fin à la lesbophobie légale a été proposée à l'ONU par une lesbienne courageuse : Rosanna Flamer-Caldera du Sri Lanka.

   Selon Human Dignity Trust, « L'auteur est lesbienne. Elle s'habille dans ce qui est considéré comme une tenue «masculine» et porte ses cheveux courts. Elle est ouverte sur sa sexualité et est une militante de premier plan pour les droits des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexués au Sri Lanka.
   Elle a fondé et est la directrice exécutive d'Equal Ground, la seule organisation au Sri Lanka qui représente l'ensemble de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre et intersexuée sur les questions de non-discrimination.

   « L'auteure a été victime de discrimination et d'abus parce qu'elle est lesbienne. Adolescente, elle a souffert de stigmatisation liée à son orientation sexuelle et a tenté de se suicider à l'âge de 17 ans. Peu de temps après, elle a quitté le Sri Lanka pour les États-Unis d'Amérique, où elle pouvait parler ouvertement de sa sexualité. Elle est retournée définitivement au Sri Lanka en 1990. Cependant, elle a eu du mal à trouver un emploi et à gérer son entreprise en étant et en s'habillant comme elle est.

   « En 1997, l'auteur a découvert que l'activité sexuelle homosexuelle entre adultes consentants était une infraction pénale en vertu de l'article 365A du Code pénal de 1883. 1995 pour inclure les relations sexuelles entre femmes, en remplaçant l'ancienne formulation « personne de sexe masculin » par « personne ».
   « En 1999, l'auteure a cofondé un groupe de soutien pour les femmes lesbiennes et bisexuelles, le Women's Support Group. Depuis, elle a été fréquemment menacée et a été victime d'abus de la part des médias et du public. Lorsque les membres du Women's Support Group ont évoqué l'organisation d'une conférence lesbienne en 1999, une lettre a été publiée dans la presse appelant la police à libérer les violeurs condamnés afin que les lesbiennes « goûtent à la réalité ». Une plainte à ce sujet auprès du Conseil de la presse par une organisation non gouvernementale s'est avérée infructueuse. Pendant ce temps, le Conseil de la presse a publié un arrêt dénonçant le lesbianisme.

   La loi conditionne la culture. Lorsqu'une lesbienne est déshumanisée par la règle légale explicite selon laquelle elle n'est pas autorisée à avoir des relations sexuelles entre elles, cela façonne et légitime la culture lesbophobe de ce pays. Alors que la pression pour changer ces lois rencontrera de la résistance – la vie des lesbiennes ne changera pas du jour au lendemain – c'est un pas dans la bonne direction. Si ces pays sont forcés de changer les attitudes légales envers les lesbiennes, alors, éventuellement, les attitudes socioculturelles envers nous changeront aussi.

Source afterellen.com 22/04/2022 ►Suite de l'article...
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Source afterellen.com 22/04/2022

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  BLACK & LESBIAN AMERICAN DREAM

   Karine Jean-Pierre (photo) est la nouvelle porte-parole de la Maison Blanche, première femme noire et lesbienne à occuper ce poste !

   Il y a des nominations à forte portée symbolique. C’est le cas avec celle annoncée ce 5 mai à Washington. La Maison Blanche va changer de porte-parole et la nouvelle responsable de la communication du président possède un parcours hors du commun...

   - "Je suis tout ce que Donald Trump déteste". Voilà ce que disait Karine Jean-Pierre il y a quelques mois, avant d’ajouter : "Je suis gay, je suis noire, et je suis mère".

   Le fait est là : c’est la première fois qu’une femme noire et ouvertement lesbienne va occuper ce poste prestigieux de porte-parole à la Maison Blanche. Karine Jean-Pierre vit en couple avec une journaliste de CNN, avec laquelle elle a une petite fille prénommée Soleil.
   (...) La nomination de Karine Jean-Pierre n’est pas une surprise non plus, elle était déjà porte-parole adjointe. Mais ça n’enlève rien à la portée du symbole.

En 2020, on la retrouve comme conseillère politique au sein de l’équipe de campagne de Joe Biden. C’est aussi une proche de la vice-présidente Kamala Harris...

   (...) Fille de modestes immigrés haïtiens, Karine Jean-Pierre a aussi de vrais liens avec la France. La nouvelle porte-parole aujourd’hui âgée de 44 ans, est francophone. Et pour cause : elle est née à Fort-de-France, en Martinique, de parents haïtiens qui avaient fui la dictature de Duvalier. Toute petite, elle vit ensuite quelque temps à Paris, avant que ses parents ne s’installent à New-York dans le quartier du Queens... "
   -"C’est ça le rêve américain, arriver ici comme un immigrant et accomplir ce rêve, c’est la marque de fabrique de ce pays".
Source 06/05/2022 francetvinfo.fr ►Suite de l'article...
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Source 06/05/2022 francetvinfo.fr

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   SEXUALITÉ LESBIENNE, QUESTIONNAIRE ANONYME

    Une jeune sage-femme, actuellement en troisième année du DIU « étude de la sexualité humaine » (Universités de Montpellier– Marseille) réalise son mémoire de fin de DIU sur l’accompagnement sexologique et en santé sexuelle des femmes ayant des relations avec des femmes.

   Son objectif est de savoir comment pourrait être amélioré l’accompagnement en santé sexuelle, et quelles sont les attentes des patientes.
   Elle prévoit pour cela un questionnaire en ligne, entièrement anonyme :
    ►Voici le lien
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  usa-courSupreme_1.jpg   "RIEN N'EST JAMAIS ACQUIS..."

    Des révélations explosives sur la Cour suprême des Etats-Unis, qui semble prête à renvoyer le droit à l'avortement 50 ans en arrière, ont poussé mardi le président Joe Biden à battre le rappel d'une gauche en état de choc. et qui craint la remise en cause d'autres droits comme les droits LGBT

    Se disant lui-même "très inquiet", le président a appelé les Américains à "choisir des candidats" favorables au droit à l'avortement lors des élections législatives de l'automne...
   Le site Politico a provoqué une déflagration politique lundi soir en révélant, sur la base d'une fuite inédite d'un document interne, qu'une majorité des juges de la Cour suprême étaient prêts à enterrer l'arrêt "Roe v. Wade" de 1973, qui protège le droit des Américaines à interrompre leur grossesse. La Cour suprême a confirmé l'authenticité du texte - un projet d'arrêt daté de février - tout en soulignant qu'il ne représentait pas une décision "finale", attendue avec fièvre.

   Si la Cour devait l'adopter, chacun des 50 Etats américains retrouverait le droit d'interdire l'avortement sur son sol et une moitié d'entre eux, principalement dans le Sud et le Centre conservateur et religieux, devraient emprunter cette voie. Les gouverneurs républicains du Tennessee et du Dakota du Sud ont signalé lundi qu'ils ne tarderaient pas.

   Sans même attendre de connaître la position définitive de la Cour suprême, qui doit se prononcer avant le 30 juin, le gouverneur de l'Oklahoma, Kevin Stitt, a signé mardi une loi qui interdit aux femmes de son Etat d'avorter après six semaines de grossesse. Copie d'une loi texane en vigueur depuis le 1er septembre, le texte incite les citoyens à poursuivre les médecins ou les cliniques pratiquant des avortements au-delà de ce terme, en échange d'indemnités financières.

   La veille, des gouverneurs démocrates de plusieurs Etats dont la Californie, le Nouveau-Mexique et le Michigan, avaient au contraire annoncé vouloir consacrer la légalité du droit à l'avortement même si la Cour annulait "Roe v. Wade".

   Reflétant ces fractures, les défenseurs du droit à l'avortement ont donné de la voix mardi, tandis que les opposants savouraient une victoire annoncée. Des milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Washington, New York, Boston, Los Angeles ou Seattle, pour crier leur "colère" face à la crainte d'un "retour en arrière".

   Une partie de la population américaine, notamment dans les milieux religieux, n'a jamais accepté la décision de 1973 et a livré pendant des années un combat protéiforme pour la faire annuler: les militants de base occupaient le terrain près des cliniques, tandis que leurs représentants dans les législatures locales adoptaient des milliers de lois restrictives.

   La dernière brique de l'édifice a été posée par le président républicain Donald Trump qui, aidé par les sénateurs de son parti, a fait entrer à la Cour suprême trois juges connus pour leurs positions anti-avortement, portant à six magistrats sur neuf la majorité conservatrice de l'instance.

   Ces neuf sages ont examiné en décembre une loi du Mississippi qui ramène le délai pour avorter à 15 semaines de grossesse contre deux trimestres selon le cadre fixé par la haute Cour. Lors de l'audience, plusieurs d'entre eux ont fait comprendre qu'ils comptaient profiter de ce dossier pour détricoter ou tout bonnement annuler l'arrêt "Roe v. Wade". Selon Politico, cinq se sont ensuite ralliés à cette seconde option.

   L'arrêt "Roe v. Wade", qui fondait le droit à avorter sur le droit constitutionnel au respect de la vie privée, était "totalement infondé dès le début", a écrit en leur nom le juge conservateur Samuel Alito. Le droit à avorter "n'est protégé par aucune disposition de la Constitution", a-t-il ajouté selon l'avant-projet d'arrêt qui a fuité lundi.

   Ces arguments ont suscité d'autres sueurs froides chez les progressistes. "Si l'argumentaire de la décision, tel qu'il a été publié, est confirmé, toute une série d'autres droits seraient en question", a déclaré Joe Biden, en évoquant le droit à la contraception ou le mariage des homosexuels.

Source r-llico.com 04/05/2022 ►Suite de l'article...
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Source r-llico.com 04/05/2022

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