du 15 au 26 Novembre 2024 à Paris...
Quand les lesbiennes se font du cinéma
LGBT- PARIS JO 2024
Le plongeur britannique Tom Daley, le footballeur canadien Trans Quinn et les athlètes américaines Sha'Carri Richardson et Nikki Hiltz font partie des concurrents queer de cette année.
Au moins 144 athlètes LGBTQ se rendront à Paris pour les Jeux d'été de 2024, avec un nombre record d'olympiens masculins participants, selon le site sportif LGBTQ OutSports...
PHOTO : Parmi les athlètes queer les plus en vue aux Jeux olympiques de cette année figurent le plongeur britannique Tom Daley, la star de l'athlétisme Sha'Carri Richardson et la coureuse trans non binaire Nikki Hiltz.
(...) La grande majorité des athlètes figurant sur la liste des olympiens queer, soit plus de 120, sont des femmes. Les lesbiennes et autres femmes queer représentent au moins la moitié de deux équipes : l'équipe féminine américaine de basket-ball, où six des 12 joueuses sont absentes, et l'équipe féminine australienne de football, où au moins neuf des 18 joueuses sont absentes.
(...)"Étant donné le nombre de lesbiennes présentes dans les sports féminins d'élite, cela a longtemps été un endroit plus accueillant que le sport masculin, simplement en raison du pourcentage énorme d'athlètes de haut niveau, en particulier dans la culture occidentale, qui sont LGBTQ dans le sport féminin. ", a déclaré Zeigler.
Le football féminin, dans tous les pays participants, est le sport le plus queer aux Jeux olympiques de cette année. L'équipe du Brésil compte huit athlètes absents cette année, tandis que l'équipe australienne en compte neuf – qui, selon Zeigler, "pourraient être le plus grand nombre de personnes LGBTQ que nous ayons jamais vues dans une équipe olympique"...
Source :► nbcnews.com - 19/07/2024
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BRÉSIL -SUICIDE LESBIEN...
Dans la nuit du jeudi 11, à 20h20, dans le quartier de Vale das Pedrinhas, Maiane Barbosa, une lesbienne noire de 32 ans, a partagé une vidéo douloureuse enregistrée dans sa chambre.
Visiblement secouée, Maiane a révélé dans ses derniers mots sa lutte intense contre la dépression et l'anxiété, aggravée par une série d'événements dévastateurs dans sa vie personnelle, notamment la perte de son frère, le chômage et la fin d'une relation amoureuse importante...
Peu de temps après avoir enregistré la vidéo, Maiane s'est suicidée en consommant une quantité mortelle de rodenticide, une substance dont l'usage est interdit.
L'inhumation a eu lieu dans la matinée du samedi 13, au cimetière Quintas dos Lázaros, laissant la communauté en deuil et soulignant l'urgence de s'attaquer aux problèmes de santé mentale dans les communautés.
Ce triste cas de Maiane Barbosa souligne la nécessité urgente de renforcer le soutien en matière de santé mentale et de créer des réseaux de sécurité communautaires composés de personnes plus constantes de la communauté, en particulier pour les personnes noires, afin d'aider à prévenir des tragédies comme celles des communautés vulnérables et sensibles.
Les membres de ces communautés, en particulier les jeunes, sont souvent confrontés à des défis uniques, exacerbés par une double discrimination fondée sur la race, l'orientation sexuelle et le statut socio-économique.
Source :► grupogaydabahia.com - 13/07/2024
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BURKINA FASO : NOUVELLES de la JUNTE
Un projet de loi de la junte militaire au pouvoir au Burkina Faso depuis 2022 prévoit la pénalisation de l’homosexualité.
La junte militaire du Burkina Faso souhaite interdire l’homosexualité par un projet de loi adopté en conseil des ministres, en prenant pour prétexte “les réalités socioculturelles, les us et coutumes de notre pays”...
“Dorénavant l’homosexualité et les pratiques assimilées sont interdites et sont punies par la loi“, a déclaré le ministre de la Justice, Edasso Rodrigue Bayala, cité par l’AFP. Les peines encourues n’ont pas encore été décidées. Pour être adopté, le texte doit être voté par l’Assemblée législative de transition, qui avait déjà proposé une telle interdiction.
Si dans ce pays d’Afrique de l’Ouest aucune loi ne pénalise actuellement l’homosexualité, l’homophobie d’État se répand depuis le coup d’État du capitaine Ibrahim Traoré en 2022.
Ainsi, en août 2023, le Conseil supérieur de la communication, qui régule les médias, a “interdit de diffusion les chaînes de télévision faisant la promotion de l’homosexualité”.
Cette réforme s’inscrit dans les appels à renforcer la “burkinabité” qui ont suivi le coup d’État militaire, comme le souligne Jeune Afrique.
Cette pénalisation de l’homosexualité s’inscrit dans une série de mesures de la junte précisant l’acquisition et la déchéance de la nationalité.
À travers le continent, plusieurs responsables politiques considèrent l’homophobie comme étant constitutive de l’identité africaine : “Les velléités extérieures de nous imposer l’importation de modes de vie et de pensée contraires à nos valeurs risquent de constituer un nouveau casus belli”, déclarait ainsi en mai le Premier ministre du Sénégal Ousmane Sonko. La Russie alimente dans la région ces sentiments anti-occidentaux.
Aujourd’hui, 70 pays dans le monde, dont 33 en Afrique, interdisent les relations homosexuelles.
Certains, comme le Ghana ou l’Ouganda, ont d’ailleurs récemment durci leurs lois homophobes, tandis que la peine capitale est toujours prévue en Mauritanie, au Nigeria ou en Somalie.
Dans son dernier rapport sur la situation des droits LGBTQI+ en Afrique, Amnesty international alerte sur “une escalade du sentiment anti-LGBTI” et “l’utilisation de la loi comme une arme” de répression.
Source :► adheos.org /tetu.com- 12/07/2024
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IRELANDE THÉRAPIE
Les signataires du mémorandum comprennent le Collège des psychiatres d'Irlande, la Société psychologique d'Irlande et l'Association irlandaise pour le conseil et la psychothérapie.
Un mémorandum commun renonçant aux pratiques néfastes des « thérapies de conversion » a été publié aujourd'hui par le Collège des psychiatres d'Irlande, la Société psychologique d'Irlande et l'Association irlandaise pour le conseil et la psychothérapie...
En condamnant les pratiques de « thérapie de conversion », les organisations espèrent défendre et soutenir la communauté LGBTQ+ irlandaise.
Selon l'Association britannique pour le conseil et la psychothérapie, la « thérapie de conversion » fait référence à l'hypothèse selon laquelle « certaines orientations sexuelles ou identités de genre sont inférieures à d'autres et cherche à les modifier ou à les supprimer sur cette base ».
(...)Le président du Collège des psychiatres d'Irlande, le Dr Lorcan Martin, s'est exprimé sur la tendance inquiétante de la psychiatrie, déclarant : « Il n'y a pas de place, dans une société moderne et progressiste, pour une thérapie de conversion, qui cherche à cibler et à affaiblir certaines personnes présentant des problèmes potentiellement très graves. résultats.
-«L'absence d'inclusion ou d'acceptation sociétale peut avoir un impact négatif majeur sur la santé mentale d'une personne, et nous espérons que l'annonce d'aujourd'hui contribuera à informer le public des risques de la thérapie de conversion, à garantir que les professionnels de la santé sont conscients des problèmes liés à cette pratique et, à terme, cette thérapie de conversion sera totalement éradiquée sur l’île d’Irlande ». (...)
-"Nous pensons que la thérapie de conversion crée des dommages psychologiques durables et ne doit pas être pratiquée en Irlande ni dans aucun autre pays"...
Source :► gcn.ie- 12/07/2024
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CAMEROUN -En divulguant récemment son homosexualité, Brenda Biya (photo), la fille du président du Cameroun, pourrait perdre beaucoup. Mais la jeune femme a fait le choix de refuser de se perdre.
Le 30 juin, Brenda Biya, postait sur Instagram une photo d’elle embrassant chaleureusement sa petite amie...
Un coming-out qui a énormément fait parler car au Cameroun, l’homosexualité est un crime passible de 5 ans de prison.
Brenda a partagé les risques qu’elle encourt pour avoir annoncé son homosexualité : "Je peux perdre beaucoup : froisser les liens avec ma famille, ne plus avoir le droit d’aller dans mon pays, être mise en prison…"
Et être la fille du président, contrairement à ce que certains pourraient penser, c’est comme être dans "une prison dorée". D’ailleurs, les parents de Brenda lui ont demandé de supprimer sa publication, ce qu’elle avait refusé.
Alors pourquoi prendre un si grand risque ? Parce que Brenda Biya sait ce que ça fait d’être habité par le "mal-être" : "Je n’avais pas l’impression d’être complètement moi.", a-t-elle confié. Elle désire aussi aider "les gens qui souffrent à cause de ce qu’ils sont" et leur "donner de l’espoir"
Mais aujourd’hui, la publication Instagram n’est plus visible. Peut-être que la pression était trop lourde pour les épaules de la fille du président du Cameroun qui a reçu beaucoup de soutien, certes, mais a également fait face à de nombreuses réactions homophobes."...
Source :► rtbf.be/- 12/07/2024
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PARTICIPATIONS & DONS
