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 Une bibliothèque de l’Ontario a organisé une heure du conte de drag queen le week-end dernier, et comme d'habitude il y avait les manifestants anti-LGBTQ +. homophobes. Seulement cette fois, ils ont rencontré plus fort qu'eux : les Butchs !!

 Des membres du groupe des byke Wind Sisters se sont rassemblés devant la bibliothèque du comté de Middlesex pour défendre les drag queens et assister les familles contre les manifestants anti-drag. ..

 Le groupe des bykeuses réservé aux femmes compte des milliers de membres à travers l’Amérique du Nord et se présente comme un lieu où les femmes peuvent « se connecter et rouler ensemble ».

Les byker butchs ont escorté les familles jusqu’à la bibliothèque de Parkhill, en Ontario, les aidant à dépasser les manifestants qui tentaient de bloquer l’entrée.

Une fois les participants en sécurité à l’intérieur, les femmes motardes ont lié leurs bras ensemble pour empêcher les manifestants d’entrer dans la bibliothèque.

Patricia Ginn, membre des Wind Sisters, a déclaré à CTV News : « Historiquement notre rôle de butch – et je le suis depuis 50 ans maintenant – dans la communauté a toujours été protecteur. »

Aujourd’hui, nous voulions venir ici et montrer notre protection et aider la communauté à célébrer toute notre inclusivité.

« En tant que jeune garçon manqué, quand je suis sortie, il n’y avait nulle part où aller », a poursuivi Ginn. « Je suis née dans une petite ville du Québec, et c’était une période effrayante pour nous, alors nous nous sommes cachées dans le placard..."

D’autres groupes LGBTQ+ Les organisateurs de Strathroy Pride et le groupe local Rainbow Optimist se sont joints aux Wind Sisters à l’extérieur de la bibliothèque.

Le directeur de Strathroy Pride, Frank Emanuele, a déclaré à CTV News: « Je compatis avec les enfants qui ont dû traverser cela. Nous voulons soutenir tous ceux qui sont assez courageux pour venir à ces événements.

« Souvent, les enfants et les adolescents queer disent qu’ils ne se sentent pas en sécurité dans les communautés rurales », a poursuivi Emanuele. « Nous devons donc organiser plus d’événements comme celui-ci pour montrer qu’il y a de l’amour et de l’acceptation, même dans les petites villes. »

Source et suite de l'article sur : gomag.com - 04/05/2023

 L’ex-capitaine des Bleues Céline Dumerc (photo), vice-championne olympique (2012) et championne d’Europe (2009), a annoncé le 2 mai la fin de sa carrière à l’issue de cette saison avec son club de Basket Landes.

 Eternelle shooteuse des “Braqueuses” des JO de Londres, la meneuse de poche (1,69 m) aux tirs sûrs, retraitée internationale depuis 2017, a lancé la longue cavale des Bleues que ses coéquipières ont prolongé avec une médaille de bronze olympique à Tokyo en 2021...

 La suite de celui-ci est toute trouvée pour Céline Dumerc. Retraitée internationale depuis 2017 avec pour 262e et dernière sélection, une finale –perdue– de l’Eurobasket, l’ex-N.9 des Bleues est déjà depuis 2020 manager de l’équipe de France féminine.

(...) La Tarbaise d’origine, qui a fait les grandes années du Tango de Bourges, porté vers six titres de champion de France, peut collectionner un huitième sacre national personnel et un deuxième avec Basket Landes après la sensation de 2021.

Pour trouver trou dans son palmarès, il faut plisser les yeux : il ne lui manque qu’une médaille au Mondial et, en club, un titre en Euroligue, malgré deux participations au Final Four.

Céline Dumerc a incarné les années dorées du basket français avec Tony Parker, son camarade de promotion à l’Insep qui partage avec elle même année de naissance (1982), même numéro de maillot (le 9) et même poste.

La meneuse l’est aussi hors des parquets : en 2021, elle a révélé son homosexualité aux côtés de cinq autres athlètes de haut niveau dans un documentaire de Canal Plus intitulé « Faut qu’on parle », rare prise de parole dans le monde taiseux du sport.

Source et suite de l'article sur : komitid.fr/ 02/05/2023